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Deuxième, et dernière, journée en Roumanie, partagée entre l’alliance française de Ploiesti, une rencontre avec les conseillers techniques engagés dans les partenariats bilatéraux et une séance finale de travail avec notre ambassadeur, M Paul. Dans l’intervalle, deux bonnes heures d’embouteillage : la sortie de Bucarest n’a rien à envier avec les quais de Bordeaux aux heures de pointe.

Tout cela dans un bain de français parfaitement maitrisé et revendiqué. La présence commerciale et économique de la France (Carrefour, Dacia-Renault, Société générale…) est visible partout. Si nous ne soutenons pas ce très récent membre de l’Union Européenne, encore mal assuré dans son fonctionnement politique, en plein développement économique, nous manquerons un rendez-vous décisif pour l’équilibre européen.

Le point le plus noir de ces deux jours de formation intensive, est la confirmation de l’insuffisance et de l’opacité du système de santé. La question des roms (entre 1,5 et 3 millions), certains sédentarisés, d’autres toujours nomades, socialement sur la touche, est un des problèmes politiques du pays. Ce n’est pas le coeur de mon rapport mais il n’est pas question non plus de l’éviter.

Lever demain à l’aube chantante avec des centaines de chiffres, tout un cahier de pages de notes et une demie valise de documents variés. Et aussi la conviction qu’il faut tout faire pour que ce rapport ne soit ni insignifiant, ni inutile.

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