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L’Elysée exemplaire ? Et pourquoi aucune question sur « air sarko one », l’avion de 185 millions d’euros ? Et pourquoi rien sur le « premier cercle des donateurs à l’ump » et ses dîners ?

Et tout de suite après les personnes dépendantes. Etrange : rien sur les cancéreux, ni sur la fin de vie.

Arrivée à la réforme des retraites. Sur l’affaire Woerth, nous n’avons passé que 15 minutes, 15 autres sur des babioles auto-satisfaisant le Président. Sommes-nous dans le journalisme ? Aucune interrogation non prévue, aucune réfutation. Une sidération obséquieuse.

« Il manque à l’horizon 2020 40 milliards d’euros par an ». La faute à qui ? Qui gère ce pays depuis 8 ans ? A cause de la gestion de quel gouvernement devons-nous les deux tiers de la dette (le troisième à la crise ?)

Les retraites : quelles questions sur la pénibilité ? Quelle question sur les « petites retraites » indécentes ? Quelle question sur la part entre effort des salariés et contribution du capital (10 à 1) de la part de Pujadas ?

Arrive une question sur la pénibilité. Le sujet est seulement lancé et le monologue sarkozien suit. « Nous créons un droit nouveau » dit NS. Ce droit, c’est celui d’être invalide, pour pouvoir partir à l’âge où l’on part aujourd’hui en retraite.

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