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Et si le Grand Soir était un Matin ? Un début, un départ, un élan ?

C’est l’atmosphère de La Rochelle depuis hier. Affluence record (3500 inscrits, 500 journalistes), une vraie tension unitaire, la crainte bienfaisant de toute entorse à une émulation saine entre nos candidats.

Tant pis pour Bussereau et ses caques de chantier : débat n’est pas combat. Du moins pas entre nous et chacun est attentif à soutenir son candidat pour les Primaires sans attenter en quoi ce soit à aucun de ses concurrents, ni à l’atmosphère de préparation de la victoire qui l’emporte sur toute autre chose. Aux tables des cafés, dans la longue queue menant aux inscriptions ou aux séances, nulle animosité, une atmosphère chaleureuse et véritablement fraternelle.

Bisounours ? Au sein des militants, parmi lesquels je passe toujours ces moments de rencontre, en tout cas l’évidence que nous nous retrouverons unis dès la mi-octobre, sans états d’âmes quel que soit le choix de notre candidat(e). Aurions-nous partagé cela à ce point en 2007, nous aurions gagné. Personne ne prendra la responsabilité de recommencer.

J’espère que les médias rendront bien l’image de cette incroyable foule, de cette chaleur sympathique au lieu de guetter les petites phrases et les poses de l’une ou l’autre de nos beautés divines. Malgré l’affluence des caméras à l’arrivée de chaque star, La Rochelle n’est pas Cannes et les projecteurs doivent être mis sur ce grand concours de militants et de sympathisants.

Elisabeth Gugou introduit maintenant une séance sur la crise et l’été européen, autour de Jean Louis Bianco, Martine Aubry et Henri Emmanuelli.

A tout à l’heure.

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