m

Nouvelles positives pour le Grand Parc

Plusieurs informations positives concernant le Grand Parc.

Tout d’abord la Salle des Fêtes, que nous devons à l’architecte Ferret, vient de recevoir le label « Patrimoine du XXième siècle ». Un premier signe positif que je soutiens de longue date auprès de toutes les structures compétentes : ne pas s’intéresser seulement à « la ville de pierre », comme le fait la municipalité, mais porter un regard nouveau sur les réalisations contemporaines.

Le Grand Parc de ce point de vue mérite plusieurs étoiles. L’économie d’ensemble des bâtiments disposés dans ce vaste espace, la forme originelle du centre commercial, méritent l’attention des architectes et je suis allée voir dans cette perspective l’architecte départemental. Il faut prendre garde à améliorer sans dénaturer ce qui a été une des grandes réalisations des années 60-70.

Deuxième bonne nouvelle : j’ai rencontré M Blanc, nouveau directeur d’Aquitanis, et obtenu l’assurance qu’il ne serait plus coupé un seul arbre du parc. La municipalité de Bordeaux a écouté d’une oreille favorable ma proposition de signaler les espèces d’arbres dans Bordeaux et a initié une promenade arboricole… au parc rivière. Nous nous rapprochons du Grand Parc. Quand mettrons nous enfin en connexion ces deux beaux espaces jardinés qui pour l’instant s’ignorent ?

Troisième bonne nouvelle : le projet de résidentialisation d’Aquitanis autour des immeubles du Grand Parc est mis « au Frigidaire ». J’emploie la formule comme un clin d’oeil, en connaissant son caractère fautif. Je crois et j’espère que ce séjour rafraichissant sera durable, car il promettait de sillonner de grilles l’espace du Grand Parc, conçu au contraire comme un espace ouvert et un jardin qui appartient à tous.

Nouvelles positives pour le Grand Parc

Plusieurs informations positives concernant le Grand Parc :

Tout d’abord la Salle des Fêtes, œuvre de l’architecte Ferret, vient de recevoir le label « Patrimoine du XXième siècle ». Un premier signe positif soutenu de longue date par Michèle Delaunay auprès de toutes les structures compétentes : ne pas s’intéresser seulement à « la ville de pierre », comme le fait la municipalité, mais porter un regard nouveau sur les réalisations contemporaines.

Le Grand Parc de ce point de vue mérite plusieurs étoiles. L’économie d’ensemble des bâtiments disposés dans ce vaste espace, la forme originelle du centre commercial, méritent l’attention des architectes. C’est dans cette perspective que Michèle Delaunay est allée voir l’architecte départemental : il faut prendre garde à améliorer sans dénaturer ce qui a été une des grandes réalisations des années 60-70.

Deuxième bonne nouvelle : Michèle Delaunay a rencontré M Blanc, nouveau directeur d’Aquitanis, et obtenu l’assurance qu’il ne serait plus coupé un seul arbre du parc. La municipalité de Bordeaux a écouté d’une oreille favorable la proposition de la Conseillère générale de signaler les espèces d’arbres dans Bordeaux et a initié une promenade arboricole… au parc rivière.

Troisième bonne nouvelle : le projet de résidentialisation d’Aquitanis autour des immeubles du Grand Parc est mis en attente. Michèle Delaunay s’oppose à l’installation Je crois de grilles sillonnant l’espace du Grand Parc, conçu au contraire comme un espace ouvert et un jardin qui appartient à tous.

FDAEC : des propositions de petite et de mauvaise politique

Le Fonds Départemental d’Aide à l’Equipement des Communes est versé par le Conseil Général aux villes de Gironde pour des équipements utiles à tous. La mairie de Bordeaux a cette année décidé de réduire de moitié le complément qu’elle versait pour ces équipements.

Les propositions d’équipements à financer sont faites par la municipalité de chaque commune. A Bordeaux, ces propositions sont dictées par de la petite et bien mauvaise politique, ainsi que sur une méconnaissance complète des besoins réels.

La liste proposée par la municipalité n’a d’autre objet que d’émietter les financements versés par le Conseiller Général afin de le rendre non perceptible pour les citoyens et de minimiser le rôle du Conseil Général lui-même.

Quelques exemples : 

– réalisation d’une clôture autour du potager de la Maison du jardinier
– embellissement des sanitaires au centre d’animation du Grand Parc (pas « remplacement », mais « embellissement » : sans doute va-t-on les repeindre !)
– réfection de la peinture du local plonge dans la RPA Maryse Bastié
– mise en place de bornes anti-vol à la bibliothèque du Grand Parc

Plus gravement, ces propositions méconnaissent complètement les réels besoins des structures du canton. Les propositions comportent la réfection d’une classe qui est en réalité en parfait état, les anti-vols ne sont ni nécessaires, ni souhaités par la bibliothèque qui a au contraire des besoins pour fonder une « DVD-thèque »…. Cette année on a ainsi demandé à Michèle Delaunay de financer la peinture de la cage d’escalier de l’école Condorcet.. qu’elle avait financé l’an dernier !

Enfin, et ce n’est pas négligeable en ces temps où la gestion financière publique devrait être rigoureuse, les sommes demandées sont sans rapport avec la réalité. L’an dernier 22000 euros étaient demandés pour la réfection d’une classe à Condorcet qui était d’ailleurs en bon état. Avec la même somme, ont pu être repeints le hall d’entrée, la cage d’escalier, les paliers et une autre classe. Bon exemple de gestion économe des deniers publics.

Cette année, la diminution de la contribution de la Mairie de Bordeaux, le tour de passe-passe qui transfère le financement admis pour les structures associatives sur les adjoints de canton, et les propositions qui nous sont faites touchent au scandaleux. Il faut, malgré la complexité du sujet, que les habitants de chaque canton en soient informés.

FDAEC (II) : des propositions de petite et de mauvaise politique

Le Fonds Départemental d’Aide à l’Equipement des Communes est versé par le Conseil Général aux villes de Gironde pour des équipements utiles à tous. La mairie de Bordeaux a cette année décidé de réduire de moitié le complément qu’elle versait pour ces équipements. (Voir billet précédent).

Les propositions d’équipements à financer sont faites par la municipalité de chaque commune. A Bordeaux, ces propositions sont dictées par de la petite et bien mauvaise politique, ainsi que sur une méconnaissance complète des besoins réels.

Pourquoi ?

La liste proposée par la municipalité n’a d’autre objet que d’émietter les financements versés par le Conseiller Général afin de le rendre non perceptible pour les citoyens et de minimer le rôle du Conseil Général lui-même. J’en donne quelques exemples : – réalisation d’une clôture autour du potager de la Maison du jardinier
– embellissement des sanitaires au centre d’animation du Grand Parc (pas « remplacement », mais « embellissement » : sans doute va-t-on les repeindre !)
– réfection de la peinture du local plonge dans la RPA Maryse Bastié
– mise en place de bornes anti-vol à la bibliothèque du Grand Parc

On peut juger combien ces petits travaux, relevant de l’entretien normal que doit éffectuer la Mairie, sont agréables aux habitants du Canton et valorisants pour le Conseiller Général qui les finance !

Plus gravement, ces propositions méconnaissent complètement les réels besoins des structures du canton. Les propositions comportent la réfection d’une classe qui est en réalité en parfait état, les anti-vols ne sont ni nécessaires, ni souhaités par la bibliothèque qui a au contraire des besoins pour fonder une « DVD-thèque »…. Cette année cette méconnaissance est à son comble puisque l’on me demande par exemple de financer la peinture de la cage d’escalier de l’école Condorcet.. que j’ai financée l’an dernier !

Enfin, et ce n’est pas négligeable en ces temps où la gestion financière publique devrait être rigoureuse, les sommes demandées sont sans rapport avec la réalité. L’an dernier 22000 euros étaient demandés pour la réfection d’une classe à Condorcet qui était d’ailleurs en bon état. Avec la même somme, ont pu être repeints le hall d’entrée, la cage d’escalier, les paliers et une autre classe. Bon exemple de gestion économe des deniers publics.

Cette année, la diminution de la contribution de la Mairie de Bordeaux, le tour de passe-passe qui transfère le financement admis pour les structures associatives sur les adjoints de canton, et les propositions qui nous sont faites touchent au scandaleux. Il faut, malgré la complexité du sujet, que les habitants de chaque canton en soient informés.

Un très beau début de week-end

Très beau début de week-end, ce matin au lycée Condorcet du Grand Parc. Ce beau lycée, aux lignes très contemporaines, fêtait ses 20 ans. Au lieu de s’épuiser en longs et vains discours, c’est un spectacle de danse qui a été proposé. Nous avons été tous bluffés par la qualité de ce spectacle de niveau professionnel et à la chorégraphie extrèmement créative. Douze jeunes filles et un long jeune homme, mi-récitant, mi-danseur, ont célébré Dédale, Icare et le Minotaure. La mythologie grecque revue par une chorégraphie épurée avec des moments d’émotion, comme les bras des élèves, en mouvement permanent, symbolisant l’enfermement dans le labyrinthe.

Ce ballet moderne fait partie d’un projet européen initié par la compagnie Etoile de Reggio Emilia en Italie. Il sera présenté dans sa totalité au festival des lycéens de mai prochain, avec les danseurs du lycée Condorcet rejoints par leurs collègues italiens et hollandais.

Assis à côté de moi, le proviseur d’un lycée voisin a résumé: »Il y a des pépites dans nos bahuts ».

L’heure était à la fête, consigne avait été donnée de ne pas évoquer la vague de suppression de postes qui risque de décimer de telles initiatives : 400 postes d’enseignants en Aquitaine, passés aux pertes sans profits du plan de rigueur sarkozien. Je reviendrai, on s’en doute, sur le sujet qui sera aussi l’objet de ma part d’une interpellation du gouvernement.

Merci à l’équipe enseignante et à leur proviseure Annie Prévot de nous avoir fait commencer le week end de si encourageante façon.

Suivi et Infogérance par Axeinformatique/Freepixel