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Michèle Delaunay en tant que membre de la Commission des Affaires Sociales à l’Assemblée nationale, a pu apprécier à de nombreuses reprises les qualités qui font de Philippe SEGUIN un « monument de la République », exprime son très grand regret après sa disparition soudaine.

La mort de « l’ours impartial »

L’année 2010 commence bien mal avec la disparition d’une des figures de proue de la République dans ce qu’elle suppose d’impartialité et d’engagement.

Philippe Seguin venait régulièrement à l’Assemblée présenter devant la Commission des Affaires Sociales dont je fais partie, les rapports de la Cour des Comptes dans leur implacable sévérité.

Jusque dans ces présentations faites avec le langage mesuré propre à la Cour, Philippe SEGUIN savait manier à la fois cette éloquence charnelle qui démontre la conviction et le fin humour qui manifestait à chaque instant sa brillante intelligence.

Notre regret est aujourd’hui d’autant plus grand que les personnalités de cette stature ne sont pas nombreuses capables de le remplacer à la tête de « la Cour ».

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