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Il y a un an, un an tout juste, entre les deux tours de l’élection législative, Ségolène (est-il besoin de préciser « Ségolène qui ? ») nous donnait un moment de bonheur, sous un grand soleil d’été, dans les rues de Bordeaux qui sentaient la liberté et le grand large.

Une visite improvisée, sinon impromptue. Une marche dans la ville, chaque pas faisant s’agglomérer à nous un nombre plus grand de Bordelais. Place de la bourse, prise de parole du haut d’un banc, avec une sono crachouillante, au milieu d’un bon millier de personnes.

Ce jour-là, Ségolène -et je l’espère moi aussi- a incarné tout ce que j’aime dans la politique : la liberté, le plaisir d’être et de faire ensemble.

Le lendemain, le Maire de Bordeaux dans Sud-Ouest a déclaré « La candidate socialiste a fait venir le SAMU.. ». De nombreux Bordelais, politiquement plus proches de lui que de moi, m’en parlent encore. Le mépris est un des points faibles du Maire de Bordeaux.

Un an déjà…

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