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Le contrôleur se penche vers moi et me dit tout le plaisir qu’ « un certain soir » lui a fait mon élection. -« Nous étions heureux, vous pouvez pas savoir ! »

Oui, c’est vrai ça me fait plaisir. Je lui réponds que je vais essayer de confirmer dans les mois et les années à venir. Cela me ramène à la question posée dans le billet précédent : « que faire ? » pour que cette élection ait un impact sur la vie de ceux auxquels elle a fait plaisir ?

Comments 2 commentaires

  1. 26/07/2007 at 14:06 Kikitou

    Des milliers (certainement des millions) de gens ont été heureux de votre élection.
    Des gens importants, certes, mais surtout des petites gens, cette France d’en bas si souvent oubliée.
    Vous êtes leur espoir.
    Ils croient en votre façon différente de faire de la politique.
    Faites en sorte que leur plaisir dure longtemps…

  2. 01/08/2007 at 17:29 M.V.

    "Que faire?" dîtes-vous Michèle; mais vous faites beaucoup avec constance et courage; seulement, vous ne pouvez pas tout , toute seule. Il y a aussi le travail hors de l’Assemblée.
    Je dis cela parce que j’ai été inquiète de lire que les jeunes Populaires U.M.P. s’activaient avec pugnacité et progressaient: 52% de garçons et 48% de filles entre 16 et 30 ans(soit 15% de l’effectif global du parti). Ils "propagandent" dur sur les plages, sans aucune concurence, et ça marche. Les vacanciers toujours aveuglés sont contents: ex: "cela fait une animation agréable comme une autre"…"c’est beau de voir ces jeunes si investis!"…"je garde le papier, je m’inscrirai demain"…(paroles vraies).
    J’ai peur que l’avance prise dans l’opinion soit telle qu’on ne puisse la rattraper. Heureusement, il reste l’argument du porte-monnaie, Michèle nous donnera peut-être l’occasion d’en reparler!

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