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En… , un écrivain de science-fiction américain nommé Morgan Robertson écrit un roman très étrange. Une nuit d’avril, un paquebot immense part pour son voyage inaugural, transportant 3000 passagers. Le paquebot mesure 800 pieds de long et jauge 70 000 tonneaux, et il a, dès sa conception particulièrement avant-gardiste, la réputation d’être insubmersible.

Drame : le paquebot heurte un iceberg et finit par couler après des heures dramatiques. Comme il n’y a à son flanc que 24 canots de sauvetage, il y a plus d’un millier de noyés.

Petit détail : le navire du roman s’appelle le Titan, et le roman lui-même a été écrit en 1898, quatorze avant un autre voyage.

Par une nuit d’avril 1912, le Titanic coule plusieurs heures après avoir heurté un iceberg. Le Titanic mesurait 800 pieds de long et jaugeait 66 000 tonneaux. Il n’avait à son flanc que 20 cannots de sauvetage, et malgré la réputation d’insubmersibilité de ce géant des mers, ce fut la plus grande tragédie maritime civile de la période contemporaine : un milier de morts.

Prémonition ? Qu’est-ce que la prémonition ? Existe-t-elle ? Un esprit rationnel peut-il la concevoir ou même l’accepter ?

Dans un livre publié en 1972, j’ai raconté l’accident mortel d’un de mes amis, près de trente ans plus tard. Je ne m’en suis jamais consolée.

Ce n’est pas une histoire de dimanche. Si, quand même, puisqu’elle échappe au monde politique ; elle fait partie du mystère immense du fonctionnement cérébral.

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