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Le Gouvernement envisage aujourd’hui de réduire la fiscalité sur les donations précoces aux enfants et petits enfants, ce qui débloquerait l’épargne des âgés et soutiendrait la relance.

Encourager les donations précoces favorise sans conteste les familles riches mais est-il mieux d’hériter à 60 ans (âge moyen) ? Je suis favorable à ces donations précoces si, parallèlement, on instaure un revenu minimum pour les jeunes qui ne peuvent être aidés par parents et grands parents.

Mais comment faire alors la distinction entre ces familles, connaître leurs liens et leurs intentions ? Des familles riches peuvent n’avoir aucune intention de venir en aide à leur descendance mais, à l’inverse, on a peine à concevoir de verser un salaire de base à un enfant de parent fortunés. Créer une obligation d’aide ? Et aussi, comment faire accepter un gradient social entre enfants de riches, enfants de pauvres ?

Je n’ai pas de réponses mais la situation globale des jeunes impose de s’interroger.

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