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Les socialistes tissent leur toile sur Internet

Le portail lessocialistes.fr vient de faire son apparition sur le net. Sur ce nouveau site, vous trouverez la liste des blogs de tous les députés, sénateurs et députés européens socialistes. Viennent s’y ajouter ceux de tous les élus, collaborateurs, sympathisants et militants qui souhaitent apporter leur pierre à l’édifice de la « gauchosphère ».

Au delà de cette belle exhaustivité, l’intérêt de ce portail est de voir en un coup d’œil les sujets qui suscitent le débat dans la blogosphère socialiste avec la liste des vingt derniers articles publiés sur l’ensemble des blogs référencés. Un bel outil pour « sentir » les sujets qui montent sur le net.

N’hésitez pas à aller y jeter un œil, à le mettre dans vos favoris et venez y référencer votre propre blog.

www.lessocialistes.fr

La mort d’un Président… Et la sortie d’un autre.

« La mort d’un Président » hier sur France 3. Bel hommage à Pompidou et belle ode de Marie-France Garraud à la fonction présidentielle.

Il n’était pas trop difficile d’imaginer à qui elle pensait quand elle répétait « Quand un Président n’a plus l’adhésion du peuple qui l’a élu, il doit partir ». L’insistance et la répétition enfonçaient le clou. D’augustes oreilles ont dû siffler.

Prévention, encore une fois

A la question-titre du « Monde de l’économie » « Comment financer un monde de vieux », la première réponse est : en faisant en sorte qu’ils soient jeunes plus longtemps.

Cela s’appelle la prévention et l’anticipation de l’avancée en âge, à la fois personnelles et politiques. C’est bête, personne n’en parle, et c’est encore ce qui marche le mieux.

Côte d’Ivoire : une impression de malaise

Une impression de malaise en écoutant tout à l’heure la nouvelle de l’arrestation de Laurent Gbagbo. Saurons-nous jamais la vérité du vote qui a ouvert cette crise, de la part de chacun dans la montée en tension des dernières semaines, dans l’arrestation elle-même ? Sans doute, non.

Mon inquiétude, chaque jour plus grande, de voir l’engagement de la France aux côtés d’un des deux partis n’est pas apaisée. Il ne s’agissait plus de rétablir la paix, pas non plus d’apporter une aide humanitaire à un pays, puis à une ville, dont la situation empirait chaque jour. Il s’agissait bien, littéralement, d’un parti pris.

Parti pris qui était celui de la communauté internationale. Parti pris qui s’est manifesté sur le terrain dans le cadre des forces de l’ONU, même s’il nos forces n’ont été à aucun moment confondues à celles de l’ONU, mais ont toujours paru agir distinctement.

Parti pris dont on ne peut nier qu’il s’est fait en direction d’un clan qui n’est pas lui même indemne d’actions sanglantes contre son peuple -toutes les preuves paraissent au contraire présentes- et dont certains un jour risquent de lui demander compte.

Je n’ai pas suivi l’histoire de la Côte d’Ivoire au cours de ces dernières années. Je m’éxerce donc à la plus grande prudence. Cette inquiétude que j’évoquais je vais la résumer de manière simpliste : j’espère que si des Ivoiriens dans leur char ou dans quelque autre situation ont été tués par nos forces, la charge n’en soit pas portée au discrédit de la France et de ses intentions.

Interrogation

Pourquoi l’actuel Ministre des Affaires étrangères qui, tout le temps qu’il fût Ministre de la Défense joua le rôle de Ministre des Affaires étrangères, endosse-t-il aujourd’hui celui de Ministre de la Défense ?

Il ne s’agit pas seulement de sa volonté d’occuper le premier plan, mais de l’intention de Nicolas Sarkozy qui autorise, voire qui favorise, cette situation.

Suivi et Infogérance par Axeinformatique/Freepixel