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C’est « le Monde » qui, à la suite de Stephane Hessel, a lancé l’interrogation à chacun de nous. Bel exercice de voir ce qui vient en premier, presque sans réfléchir.

Pour moi, trois réponses sont arrivées en bouffée. La plus simple à expliquer et la première que je livrerai ici : que l’on puisse encore, après tant de siècles et une si longue maturation de la pensée et des croyances, après tout ce que nous a appris l’histoire, que l’on puisse encore insulter, haïr, diviser, violenter, blesser, torturer, tuer, au nom de la religion.

Je n’ai employé aucun mot qui puisse désigner une religion plutôt qu’une autre. Toutes subissent, comme l’attrait du néant, cet effarant appel des intégrismes ; toutes échouent, à des degrés divers, à le contrôler et surtout à en démontrer l’absolue inanité, l’inacceptable trahison ce qui est l’essence même de leur message, même si ce message apparaît de l’une à l’autre d’une modernité plus ou moins aisée à déchiffrer, aucune, absolument aucune, n’est vectrice de haine et de meurtre.

Maintenant, à vous…

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