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C’est pour moi un immense chagrin que la perte d’Henri Emmanuelli, qui m’honorait de sa confiance et qu’avec la sobriété qu’il exigeait, j’ai essayé d’accompagner dans sa maladie.

C’était un homme entier, intègre, volontaire, pudique que j’aimais et admirais beaucoup.

Le Parti Socialiste a besoin de femmes et d’hommes de cette trempe qui ne louvoient pas, qui n’intriguent pas et dont l’action marque durablement leur territoire.

Un coup de chapeau particulier à tout ce qu’il a réalisé pour les personnes âgées dans les Landes.

Salut à ses proches, à ses amis et à ses fidèles.

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