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Le Parti Socialiste est comme l’assurance sociale : affronté à toujours plus de risques, sans être sûr d’éviter celui de la faillite.

C’est aujourd’hui du 5ème risque de la sécurité sociale que je vais parler à la réunion de groupe à l’assemblée. Ceci dans l’espoir de pouvoir intervenir sur le sujet lors des questions d’actualité.

La présentation d’une question est un jeu très convoité. Légitimement : nous sommes 204 députés au groupe SRC (bientôt 205 j’espère avec François Deluga) et chacun doit passer à son tour (nous n’avons droit qu’à 4 questions par séance). J’ai pour ma part posé déjà trois questions, c’est donc pas gagné pour aujourd’hui !

Retour au 5ème risque qui est le défaut ou la perte d’autonomie. Le principe d’un financement public-privé vient d’être acté au Conseil des Ministres, sans que nous ayons connaissance des conditions de ce rôle du privé, qui sera tenu par les assurances.

La question est alors celle du « contonnement ». Mot bizarre pour dire que les profits des assurances sur ce champ de manoeuvre doivent lui-être « cantonnés ».

Question d’actualité en ces temps où la régulation s’impose comme une évidence. Mais dont il n’apparait pas la moindre signe dans les intentions du gouvernementL

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