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Merci à tous de vos commentaires. Au billet précédent, sur twitter et facebook, dans les médias, par courrier… L’émotion suscitée par cet événement montre l’intérêt et l’inquiétude des Français vis-à-vis des problèmes de l’âge.

Je me suis rendue cet après-midi auprès de « la vieille dame », assez troublée, n’ayant pas à l’évidence une conscience claire du déroulement des derniers jours, peut-être de ceux d’avant, je ne peux juger de ce qui est trouble passager ou détérioration plus ancienne. Elle ne souffre pas, ne montre pas de signe d’inquiétude, paraissait heureuse de ma visite, de voir que l’on prenait de ses nouvelles.

Aujourd’hui, l’enquête administrative concernant la maison de retraite est ouverte et je souhaite qu’elle se développe dans le calme, qu’elle soit complète, puisque nous ne sommes plus dans l’urgence. Les questions financières opposant cet établissement à la famille seront réglées par la justice et je n’ai pas à intervenir en la matière.

J’informerai des décisions prises. Ce cas individuel est riche d’enseignements pour nous tous et nous saurons les verser au projet de notre loi sur le vieillissement et la révolution de l’âge.

Comments 17 commentaires

  1. 08/01/2013 at 22:40 Dominique LAVOREL

    Bonsoir,

    Je comprends et je partage votre indignation quant au sort réservée à cette vieille dame.
    Pour autant, il me semble que dans la cacophonie ambiante relative à ce désastre, il ne faut pas se tromper d’adversaire, et pour moi, les responsables et les coupables sont ses enfants.
    La solidarité, ce n’est pas qu’un mot qui fait joli dans les salons…
    La solidarité, c’est d’abord que chacun assume la responsabilité financière des siens tant que ses facultés contributives le lui permettent ( et le lui imposent d’ailleurs… ).
    Certes, le comportement des dirigeants de la maison de retraite est inqualifiable, mais quid de celui de ses enfants ????
    Je lis ici et là, que l’un de ses fils, par ailleurs médecin hospitalier, assure détenir une preuve photographique de la présence de sa mère parmi les siens, pendant les fêtes de Noël…
    Mais dans quel monde vit-on pour que moins de 15 jours après cette « chaleureuse » réunion, cette dame doive subir cette infortune ????
    Comment croire que personne n’était pas informé de l’existence de cette dette ????
    Ces « enfant « vont-il maintenant porter plainte contre le directeur de cet établissement ??? et sous quel chef d’accusation : abandon ??? non assistance à personne en danger ????
    Mais de qui se moque-t-on ?
    Comment ne pas penser à ces milliers d’enfants qui assurent dignement, difficilement et courageusement les factures permettant le maintien d’un des leurs, dans un tel établissement ?
    Je suis atterrée de n’avoir pas entendu une seule voix s’élever, dans ce concert d’accusateurs, pour déterminer le véritable responsable.
    Dans ces conditions, je suis assez inquiète du devenir de la solidarité qui ne peut et ne doit pas être assurée uniquement que par la collectivité ( locale en outre… ).
    Il appartient à chacun d’assumer ses propres responsabilités financières envers les siens.
    L’obligation alimentaire entre ascendants/descendants est une réalité et ne peut négligée.
    L’aide sociale aux personnes âgées assurée par la collectivité ne pourra être maintenue que par la juste contribution de chacun.
    Mon indignation s’étend également aux tarifs prohibitifs de ces maisons de retraite ( médicalisées ou pas ).
    N’y-aurait-il pas matière à réglementer ?
    Je pose la question.
    Cordialement,

    • 10/01/2013 at 21:49 rougeolle

      madame, mais dans quel monde vivons nous, comment peut on se servir d une personne pour faire réagir une autre personne .il y a d autres moyens pour que cette maison de retraite récupère son argent.je trouve scandaleux d agir ainsi cela n est pas qu un problème d impayés, mais un problème de MALTRAITANCE et répréhensible j espère que cela ne restera pas impuni une personne de 94 ans sortie de chez elle emmenée a des kilomètres pour ensuite finir aux urgences , cette maison de retraite ne sait probablement pas quelle risque d être désorientée elle perd ses repères même. si je ne connais pas l histoire ni les antécédents de cette personne.n oublions pas que si rien n est fait contre ses agissements
      cela se reproduira et nous sommes cette personne demain!!!! a méditer.

    • 12/01/2013 at 08:31 HILAIRE

      Comment être surpris je ne le suis pas moi même qui ai travaillé 25 ans en maison de retraite, cette personne a été renvoyée mais d’autres sont maltraitées chute la nuit car personnel irresponsable ma mère valide a peur à présent d’appeler la nuit, des protections de nuit trop grande, des vols de bijoux d’argent
      pointons du doigts c’est grand groupe qui font fortine sur le dos de nos aînées, ces groupos sont cotés en bourse et nous famille nous ramons pour payer un domicile correct à nos parents or de prix
      A l’heure ou notre gouvernement faait des audits et des séminaires de tout et bien je serai apte à vous faire la liste de ce qui ne va pas en maison de retraite, car croyez moi la maltraitance revêt plusieurs visages

  2. 09/01/2013 at 00:47 Babeth

    Merci de vos précisions. Finalement, on marche toujours à l’affectif, il faut un fait divers un peu glauque pour qu’on réagisse. Cette situation aura au moins eu ce mérite : une prise de conscience.

    • 09/01/2013 at 06:23 sylvie

      Pour l’homme de la rue ce fait divers est aussi révélateur de la complexité de la mission conférée à Madame Delaunay

  3. 09/01/2013 at 07:09 brigitte

    c’est bien que vous ayez pu rendre une visite à cette mamie, car c’est bien la personne qui est le plus important.
    étonnant dans votre billet sur la morosité vous parliez de l’époque 14-18 avec l »éloge du courage des gens de cette époque et quelques jours plus tard vous êtes face à une dame qui a du naitre en 1919 ou 1920… étrange clin d’oeil de la Vie!
    En tout cas vous avez posé une pierre pour ce début 2013: prise de conscience-action

    Pour faire dans le plus léger, mes strasbourgeois s’impatientent, Frifri qui fait ses 90 ans le 24/01 et qui ne manque pas d’humour m’a dit hier soir… « Madame Delaunay ne va pas venir à Strasbourg comme ça pour voir notre boulot, il faut de l’extraordinaire, du triste, du sensationnel pour qu’elle vienne voir notre tribu… » Avec son accent bien marqué « alsacien pur cru » et tempérament bien trempé, « elle me dit.. bon je réfléchis, j’ai déjà écrit 2 nouveaux textes, il faut agir « …
    allez bonne journée

  4. 09/01/2013 at 11:25 Musset Jean Claude

    Michèle
    Comme tout le monde la réaction immédiate est l’indignation, il faut d’ailleurs continuer à s’indigner, mais les explications concernant la famille et leur désinvolture, le mot est trop faible d’ailleurs, amènent à reconsidérer notre point de vue initial.
    Lourd sujet de réflexion pour toi, Ministre en charge, ce problème que je vis et que de + en + de gens vont « subir » nécessite une remise à plat des financements des établissements quels qu’il soient.

    Bien amicalement

    • 09/01/2013 at 12:10 Louis

      Je repose ma question (à ce jour sans réponse …) : où « passaient » les revenus de cette Dame ? Parce que, pour cumuler en aussi peu de temps 40.000 Euros d’impayés, cela veut dire que ses revenus auraient été utilisés à d’autres fins qu’à des dépenses de la vie courante. Ou alors qu’elle n’aurait eu aucun revenu, ce qui voudrait dire qu’une maison de retraite privée (à 125 Euros par jour !)accepterait de recevoir des impécunieux sans même se soucier de savoir qui paierait. Alors dites-nous, Madame la Ministre : il passait où l’argent de la Mamie ?

  5. 09/01/2013 at 13:09 alphonse

    Et voilà…
    Après l’émotion…il faut quand même bien passer à l’aridité d’une enquête…
    A se demander si l’émotion, y compris le buzz nourri par la Ministre, n’ a déjà pas nui à l’objectivité de l’enquête ( simplement administrative..?…personne n’imaginerait une action en non assistance à personne en danger, a priori sur le taximan, ou la personne de l’hospice qui aurait dû le faire accompagner..?)
    C’est vraiment la maladie de quelques-uns de ce gouvernement, de se précipiter sur l’évènement, d’y participer même (affaire Mehra…) de préjuger (Corse)…puis de finir par rentrer derrière son bureau et attendre…les suites, les seules suites normales valables…

    A se demander même s’il était vraiment utile d’infliger une visite ministérielle, en plus, à cette dame…

    Au final, on est pied du mur, peu, très peu éclairé par l’émotion, au pied du mur de profitations croisées…, dans un univers de riches, probablement moins décelables encore avec cet « évènement », dont on serait curieux, déjà, de connaître ce qui l’a fait arriver à la surface médiatique…

    Aurons-nous droit à « La vielle dame (3) »..?
    Pas sûr, le (2) ressemblant si bien à un rétropédalage

  6. 09/01/2013 at 14:30 alphonse

    …ok, l’affaire Mehra…c’était l’autre….!
    mais c’est la même eau pour les « descentes » d’E.Valls sur divers théâtres…

  7. 10/01/2013 at 00:56 Gérard Mollier

    le retour du troll alphonse… rien ne nous sera épargné en 2013!

  8. 10/01/2013 at 10:09 alphonse

    Vous préférez qu’on traite Madame Delaunay de…Zorro..?!

    Ou qu’on traite des vacances de la Ministre de la Culture à l’île Maurice..?

  9. 10/01/2013 at 12:18 alphonse

    Il y a une vieille dame en son château, ici pas loin, qui a bien des ennuis avec tous les politiciens qui la rémunèrent (1 milliards d’euros d’argent public depuis son veuvage).

    Madame Delaunay va-t-elle courir à son secours?

    Elle veut juste échapper aux droits de succession (75 %..!) en créant une fondation destinée à aider ses neveux dans le besoin nés d’un premier mariage (catholique toutefois, pas les autres!!!), à aider l’Histoire qui l’agrée et les oeuvres de sa religion de prédilection…

    Elle (la dame du château, donc) devrait peut-être créer un parti avec De-par-dieu, compte tenu que l’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme (la vieille, celle de +/- 1791) stipule:
    « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l´homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l´oppression »

  10. 10/01/2013 at 14:10 Anastasie

    Félicitations !
    Vous faites partie de la liste des « ministres qui ne servent à rien (ou à si peu) », selon Marianne!
    https://www.huffingtonpost.fr/2013/01/08/10-ministres-servent-rien-marianne-invites-diner-matignon-ayrault_n_2429349.html?utm_hp_ref=mostpopular,fr-politique

    Ce n’est pas encore le « Gérard de la politique » … mais vous êtes sur le bon chemin.
    Continuez comme cela à nous divertir.

  11. 11/01/2013 at 09:49 alphonse

    1 milliard de vieux francs belges, faut-il lire dans ma petite fable au château…et non d’euros comme j’ai écrit sous le coup de l’émotion, dont il s’agit dans ce billet.

    Malgré la justification donnée par la vielle dame, l’émotion unanime des représentants du peuple sur l’usage discrétionnaire de sa dotation publique est presqu’aussi grande que celle, quasi religieuse, qui avait entouré le décès de son époux…et permis de lui accorder cette exorbitante pension…
    Du coup, ce n’est pas seulement ce montant qui va être revu…mais peut-être finalement l’institution royale elle-même, intouchable jusqu’ici mais soudainement objet de toutes les craintes quant à la persistance de l’Etat….!

    L’émotion..!

    Au cas de la vieille dame de Chaville, on peut comparer celui de la gamine de 5 ans qui a été expulsée de la cantine de son école par une policière, sous les yeux de ses petits camarades éberlués qui ont cru qu’elle allait en prison…Pour un impayé de 170 €…
    Au pays d’Aurore Martin…

  12. 11/01/2013 at 11:06 anne Hascoet

    a SAINT NOLFF commune de Joel Labbé sénateur maire aussi

    https://www.morbihan.lemensuel.com/actualite/article/2011/03/03/la-fermeture-de-la-maison-des-aines-provoque-lemoi-8222.html#FormReaction

    La fermeture de la Maison des aînés provoque l’émoi

    Trois mois pour déménager. C’est ce qui a été laissé aux 7 résidents de la Maison des aînés pour partir. Ce domicile partagé pour les malades d’Alzheimer doit fermer ses portes. Une décision rejetée par les familles, secouées par la nouvelle.
    « On était vraiment mal. » Ce jeudi, Hervé Le roux était encore secoué. Depuis plusieurs années, sa belle-mère de 102 ans loge au sein de la Maison des aînés, à Saint-Nolff. Elle habite avec six autres résidents un « domicile partagé ». Un logement non médicalisé destiné à des malades d’Alzheimer, où « on est comme à la maison », explique Hervé Le Roux. Les personnes âgées y vivent en communauté, aidées dans leur quotidien par un personnel, le tout financé par les familles de malades et des aides apa. « Ça fonctionne super bien… »

    Mais voilà, ce lundi soir, une réunion municipale les « a séchés » sur place. Convoquées en mairie, quatre des sept familles participantes à La Maison des aînés, ont appris que leur « domicile partagé » allait fermer d’ici trois mois. Une heure plus tard, à 20 h, les sept salariés de la structure étaient eux aussi convoqués… pour être licenciés. « On a été fusillés… », explique une employée. Le choc est d’autant plus rude que ni les familles, ni le personnel de s’attendait à la nouvelle. « Aucun ordre du jour ne nous avait été remis. Nous n’étions pas inquiets. »

    NE RÉPOND PAS AU CAHIER DES CHARGES

    Quelles sont les raisons de cette demande de fermeture soudaine ? La dépendance des personnes âgées dépend du conseil général. Toute structure de cette compétence doit intégrer le nouveau plan gérontologique du Morbihan. Ainsi tout domicile partagé, pour être labellisé, doit répondre à un cahier des charges. Ce qui n’est pas le cas de la Maison des aînés. « Ce type de résidence doit accueillir huit chambres. Celle de Saint-Nolff n’en compte que sept », explique le maire-conseiller général Joël Labbé. « Nous ne pouvons donc pas être labellisable. Ce qui rend le cadre juridique fragile. »

    Dès le soir même de l’annonce de la fermeture, une liste d’établissements morbihannais a été transmise aux familles afin de reloger les résidents. « Il s’agit d’une place ici ou une place là-bas, à Remungol, à Larmor-Plage… Nous on ne veut pas », témoigne Marie-Lou Frégio. « J’habite à Saint-Nolff. Je n’ai pas de voiture. Ici, je suis proche de ma parente. » Depuis deux jours, pétitions et lettres ont été lancées dans le bourg nolfféen. Les familles ont également contacté le conseil général afin de trouver une solution qui leur convienne. « Un nouveau domicile partagé doit voir le jour d’ici un an et demi à Saint-Avé. Pourquoi ne pas attendre son ouverture plutôt que de partir d’ici trois mois ? »

    « FACE AUX RÉACTIONS ET AUX ÉMOTIONS SUSCITÉES »

    L’équation apparaît économiquement difficile au maire. « Durant un an, toutes les familles vont quitter la Maison des aînés les unes après les autres. Pour chaque place vacante, la mairie doit assumer environ 2 000 € par mois. » nota « faux »

    Toutefois, « face aux réactions et aux émotions suscitées », Joël Labbé a annoncé ce soir « une remise à plat ». Mercredi 9 mars devrait ainsi avoir lieu une nouvelle réunion, en compagnie cette fois-ci du conseil général, « pour discuter avec les familles et trouver la meilleure solution possible ».

    Quant à la méthode jugée « sèche » pour annoncer la fermeture de l’établissement ce lundi soir, le maire reconnaît que « ce n’était pas top ». « On voulait que tout le monde, famille et personnel soient mis au courant en même temps. On n’avait pas d’autres solutions », regrette Joël Labbé. Mais l’élu insiste, de nouvelles pistes seront dégagées. « On en rediscutera avec le conseil municipal et si on doit aller au bout de possibilités, on ira. » L’option d’un déménagement dans un an et demi à Saint-Avé n’est plus écartée.

    Ouest France le jeudi 28 juillet 2011 Saint Nolff

    C’est définitivement fini pour la maison des aines

    « Notre exode se fera au fur et à me-sure qu’il y aura des places libres dans d’autres établissements.-On sent le désarroi dans la voix de Michel Maupay. Sa mère, Antoinette, 91 ans, est résidante de la Maison des ainés depuis huit ans. « C’est la plus ancienne ici. Je n’imaginais pas qu’elle aurait à déménager une nouvelle fois. » Antoinette et ses quatre colocataires sont en effet contraints de trouver une place dans une autre structure, car la Maison des ainés ferme ses portes, après onze années de service.

    la dernière résidente a quitté les lieux le 30 octobre 2011 suite a l injonction de la vice présidente du ccas

  13. 11/01/2013 at 11:50 anne Hascoet

    accueil des personnes agées désorientées

    une spécificité du conseil général du morbihan

    Les domiciles partagés en Morbihan

    De nombreuses communes du Morbihan ont mis en oeuvre la construction d’un logement appelé : « le domicile partagé ».
    L’objectif est d’accueillir des personnes âgées , qui en raison de leur perte d’autonomie, ne peuvent plus vivre sans l’aide d’assistant(e)s de vie 24 heures sur 24. (personnes désorientées)

    Les personnes accueillies :
    Ce logement est conçu pour des personnes âgées désorientées souffrant de la maladie d’Alzheimer ou autre maladie apparentée, et ne pouvant plus vivre seules chez elles. Prenant le relais des aidants familiaux, les assistantes de vie accompagnent la personne dans sa vie quotidienne, et ce, dans un climat familial.

    L’aide à domicile :
    Plusieurs assistantes de vie se relayent auprès des personnes : deux assistantes de vie le jour, un(e) assistant(e) de vie la nuit. Le service aux personnes de l’Assap-CLARPA, assure, en tant que service mandataire, l’interface entre les 8 personnes âgées employeurs et les 7 salariées.
    La restauration est faite sur place par les salarié(e)s : traditionnelle et familiale, adaptée aux différents régimes alimentaires.

    Service d’aide aux personnes 24/24
    Le logement :
    La location du logement est assurée par la commune.
    Ce logement est partagé en colocation par 8 personnes âgées. Il comporte un espace privé personnalisé et des espaces partagés. Il est adapté à la perte d’autonomie des personnes âgées : Rez-de-chaussée, portes larges, système d’appel dans les chambres, douches et W-C adaptés, volets roulants, etc. Ce logement situé en centre bourg ressemble à un habitat traditionnel où la personne prend vite ses repères.

    La santé :
    Comme d’habitude, la personne sollicite son médecin traitant en cas de besoin, et fait appel si nécessaire à un service de soins ou à un(e) infirmier(e) libéral(e).

    L’aide à domicile 24h/24 est mis en place par le service aux personnes de l’Assap-Clarpa. Plus d’informations sur le site : http://www.clarpa56.fr ou courriel : assap@clarpa56.fr
    ou tel : 02 97 54 12 64

    https://domicile-partage.over-blog.com/article-cahier-des-charges-domicile-partage-2011-2015-68710577.html

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