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« Les marchés » (banques, officines financières de tous poils, traders de toutes espèces) sont entrain d’acculer à la banqueroute un pays européen ami et, pendant ce temps, toute l’action du gouvernement est concentrée sur la burqua et la polygamie supposée de l’époux d’une conductrice porteuse de burqua.

Nos médias sont pleins de l’affaire, tandis que les taux usuraires faits à la Grèce continuent de monter.

Qui se soucie d’un léger détail ? Notre propre pays dépend chaque jour davantage de ces mêmes marchés. Notre dette en même que notre dépendance de ces opérateurs cyniques que nous avons pourtant soutenu de nos propres impôts, s’alourdit chaque jour. La corde sera bientôt plus grosse que le pendu.

Qui pour y faire face ? Qui pour expliquer aux Français l’importance de cet enjeu ? Une fois de plus, notre gouvernement, tapi derrière le rideau de fumée qu’il ranime chaque jour avec de plus de plus de difficultés, est aux abonnés absents.

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