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Michele Delaunay rappelle gentiment à Chantal Bourragué que si elle ne l’avait pas battue à l’élection cantonale de 2004, elle serait aujourd’hui dans la situation exacte qu’elle dénonce, et qu’elle est elle-même une « cumularde » par l’addition de son mandat de conseillère municipale « spéciale » et de son mandat de députée.

Michèle Delaunay rappelle aussi qu’en se portant candidate, elle ne déroge pas aux engagements du Parti Socialiste de ne pas cumuler un mandat de parlementaire avec une fonction exécutive mais assume seulement sa responsabilité de ne pas voir ce canton revenir aux « inconditionnels » de Nicolas Sarkozy et de sa politique.

La droite confirme qu’elle aurait préféré la voir renoncer à cette candidature, ce qui démontre que la décision de Michèle Delaunay et celle du Parti Socialiste de l’y engager est la bonne.

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