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Place Pey Berland à Bordeaux, 13 h. Je distribue entourée de jeunes militants le tract d’entre deux tours de François Hollande.

Engageante, je le tends avec ce seul mot :

– François !

Un électeur goguenard, sourire en coin, le prend en répondant :

– ça va de soi !

Beau slogan que ce « François, ça va de soi ». Je l’interroge

– Et Sarkozy ?

– C’est fini.

Comme Capri.

Comments 2 commentaires

  1. 27/04/2012 at 16:40 jean (ubu)

    michèle,

    Chassez le naturel…

    Tu recommences à censurer. C’est pas bien, tu le sais ; hein, que tu le sais que c’est pas bien !
    Bon , tu me diras trois  » Avé  » et un  » Pater » !
    Pour ton copain qui tient ta boutique, rue Judaïque, ne t’en fais pas, je ne lui ferai pas signer une quelconque adhésion à l’UMP. Moi-même, je n’y suis pas. Pourtant, lui, il en avait si envie !
    Prends bien soin de lui.

  2. 27/04/2012 at 17:06 ubu (jean)

    « … Nous n’irons plus jamais,
    Où tu m’as dit je t’aime,
    Nous n’irons plus jamais,
    Comme les autres années ;
    Parfois je voudrais bien,
    Te dire recommençons,
    Mais je perds le courage, Sachant que tu diras non…  »

    Ne perdez pas espoir, Michèle.
    Il vous aime encore.
    Vous aussi vous l’aimez encore, çà saute aux yeux.
    Il ne diras pas non. Je le sais, le connais.
    Un premier amour, Michèle…
    Un premier amour , Michèle ; quoi que fasse le temps, et les seconds et les troisièmes, et les autres qui suivent.
    On ne les oublie pas.
    On n’oublie rien.
    Et surtout, on ne les renie jamais.
    Jamais, Michèle, vous le savez si bien, vous.

    Capri…
    Pars pas Capri !

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