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J’atteris dans le train en ayant toujours un peu l’impression d’aborder à une rive, ce qui est l’exact contraire de la réalité puisque ce train m’emmène vers l’une ou l’autre de mes deux rives, Bordeaux ce soir.

Je rentre plus tôt qu’à l’ordinaire pour cause de campagne électorale, on s’en doute un peu. Demain soir, le meeting des têtes de liste socialistes m’empêchera d’être présente à l’Assemblée et de signer la motion référendaire que nous allons présenter dans le cadre de la ratification du traité de Lisbonne. L’ubiquité devrait être accordée aux députés comme prérogative liée à leur charge. Mais tout le monde voudrait être député…

Je m’installe comme une reine et ouvre mon ordi avant le départ du train. C’est un moment de halte, de lecture, de réponses à mes mails, toujours nombreux à s’être accumulés après les séances parisiennes. Des voyageurs en passant me font un sourire amical, quelquefois complice, et certains me félicitent encore de mon mauvais coup du mois de juin.

Voilà de toutes petites infos ; un peu comme si j’échangeais un coup de fil avec chacun de vous « Où tu es ? » , « Et toi, à quelle heure tu rentres ? », ces petits signes de vie qui ne disent en fait pas grand chose sauf que l’on est vivant et l’un et l’autre fraternellement sur terre.

Comments 22 commentaires

  1. 05/02/2008 at 21:42 .

    Vivants dans la détermination comme disait Raffarin!

    Michèle, dire que NapoléonIII avait quelques qualités a dû faire se retourner dans sa tombe, Victor Hugo qui en avait contre lui à juste titre, et l’appelait Napoléon LE PETIT.

  2. 05/02/2008 at 21:42 Gérard ELOI

    @ Michèle

    L’ ubiquité…

    C’est un don que tu possèdes déjà un peu,…ne fût-ce qu’en pensant à prendre ton ordi dans le train et réussir à transformer ainsi le temps, perdu pour le commun des mortels, d’ un long voyage en temps de détente ou de travail…

    Blaise Cendrars a aussi écrit écrit dans un train : " La prose du transsibérien…"

    Et également Maurice Dekobra, moins connu, à qui on doit, entre autres, " Mes tours du monde".

    Tu es aussi écrivain, comme les deux précités, et comme Victor Hugo qui a écrit un jour : " Construire une école, c’est vider une prison".

    Le programme PS de Bordeaux s’est engagé (ton billet précédent), à construire des logements.
    Il s’agit aussi, comme dans la pensée d’ Hugo, de construire, et ainsi d’apporter des conditions de vie agréables à chacune et chacun.

    L’ Humanisme avance enfin à grands pas, Michèle, grâce notamment à l’énergie et la sincérité de militantes comme Toi.

    Bravo !

    Amitiés

    GE

  3. 05/02/2008 at 21:42 Gérard ELOI

    @ Michèle

    L’ ubiquité…

    C’est un don que tu possèdes déjà un peu,…ne fût-ce qu’en pensant à prendre ton ordi dans le train et réussir à transformer ainsi le temps, perdu pour le commun des mortels, d’ un long voyage en temps de détente ou de travail…

    Blaise Cendrars a aussi écrit écrit dans un train : " La prose du transsibérien…"

    Et également Maurice Dekobra, moins connu, à qui on doit, entre autres, " Mes tours du monde".

    Tu es aussi écrivain, comme les deux précités, et comme Victor Hugo qui a écrit un jour : " Construire une école, c’est vider une prison".

    Le programme PS de Bordeaux s’est engagé (ton billet précédent), à construire des logements.
    Il s’agit aussi, comme dans la pensée d’ Hugo, de construire, et ainsi d’apporter des conditions de vie agréables à chacune et chacun.

    L’ Humanisme avance enfin à grands pas, Michèle, grâce notamment à l’énergie et la sincérité de militantes comme Toi.

    Bravo !

    Amitiés

    GE

  4. 05/02/2008 at 21:44 M.V..

    @ G.E.
    Pour la synchronisation, on est fort!

  5. 05/02/2008 at 21:44 M.V..

    @ G.E.
    Pour la synchronisation, on est fort!

  6. 05/02/2008 at 21:46 M.V..

    Le billet 1 n’est pas signé, il est envoyé par M.V.

  7. 05/02/2008 at 21:46 M.V..

    Le billet 1 n’est pas signé, il est envoyé par M.V.

  8. 05/02/2008 at 21:49 Gérard ELOI

    @ ? expéditeur du message 1 :

    Nous avons posté en même temps ! Et je ne pouvais pas deviner que tu citerais aussi…Victor Hugo !

    Coïncidence amusante, ou "vision" (Victor Hugo était un poète Visionnaire) optimiste pour les échéances du printemps ?

    Amicalement

    GE

  9. 05/02/2008 at 22:02 Gérard ELOI

    @ M.V.

    C’est donc encore moi !

    Incroyable cette "vision" commune et simultanée de Victor Hugo!

    D’autant plus que, chez les visionnaires, je préfère Nerval !

    Mais lui n’avait pas parlé d’école, ni de logements, donc je ne pouvais pas le citer et j’ai repensé au " Grand Vic".

    Tant qu’on est au rayon littérature, je te rappelle (puisque je pense en avoir déjà parlé) la qualité de Maxime Chattam et Bernard Werber. (Très intéressant à découvrir).
    Hélas, je n’ai pas encore lu leurs deux dernières oeuvres : je suis chez chacun à l’avant-dernier paru. Terrible ce que la politique prend comme temps !

    Amitiés

    GE

  10. 05/02/2008 at 22:02 Gérard ELOI

    @ M.V.

    C’est donc encore moi !

    Incroyable cette "vision" commune et simultanée de Victor Hugo!

    D’autant plus que, chez les visionnaires, je préfère Nerval !

    Mais lui n’avait pas parlé d’école, ni de logements, donc je ne pouvais pas le citer et j’ai repensé au " Grand Vic".

    Tant qu’on est au rayon littérature, je te rappelle (puisque je pense en avoir déjà parlé) la qualité de Maxime Chattam et Bernard Werber. (Très intéressant à découvrir).
    Hélas, je n’ai pas encore lu leurs deux dernières oeuvres : je suis chez chacun à l’avant-dernier paru. Terrible ce que la politique prend comme temps !

    Amitiés

    GE

  11. 06/02/2008 at 00:49 J-33 et J-40

    @lecteurs et lectrices

    Comment rester indifférent quand faisant suite à l’anniversaire de la disparition de l’abbé Pierre, les 20% de logement social quand ça n’est pas 3, 5, ou 8, ne sont pas atteints. Pourtant il faut bien admettre que la résolution de ce problème est cruciale au même titre que celui de la précarisation de la santé, et que même si les solutions impliquent le national, elles impliquent aussi largement le local. Comment imaginer un seul instant, que le retour vers un emploi décent, ou un emploi tout court (faut-il le préciser, source aussi de recettes utiles à la santé par exemple qui subit bien un déficit de recettes, sans compter d’autres taxes liées au logement), puisse ne pas passer par le logement? Dans ce domaine, malgré le droit opposable au logement, qui se brise soi-disant immanquablement sur les budgets, personne n’ose parler de "non droit". Je ne connais pas toutes les rues de Bordeaux comme ma poche, pourtant en passant à quelques centaines de mètres de l’hôtel de ville, le cours V. Hugo (justement), tout proche de Saint-Michel qui n’a que très lentement progressé, mériterait bien mieux… . Pour revenir sur la "paternité" de ces questions essentielles, il est récurrent dans l’actuelle majorité, quand ça n’est pas l’usurpation de l’héritage culturel de noms propres voire de noms communs comme "grenelle", d’avoir recours à ce genre de procédé pour des raisons peu glorieuses. Ceci me fait penser, alors que la tentation d’abolir les clivages gauche/droite est d’actualité, au moment où J.C. Delmas remettait à Mr A. Juppé "les clés de la ville" de Bordeaux. Depuis longtemps déjà, des pionniers "de gauche", ces fameux "intellos", "les chabadas" comme je le lis sur ce blog, en matière d’environnement, avaient devancé les autres, à fortiori ceux de droite. Après les 30 glorieuses, leurs inconditionnels comme son prédécesseur, disait du tramway à Bordeaux, qu’il était "ringard". Ce temps de latence entre les propositions de gauche, et la nécessité de les mettre politiquement, démocratiquement, économiquement, socialement biensûr en application, est malheureusement un peu long. Quand ça n’est pas le racket des voix frontistes sur fond d’immigration zéro ou de tests ADN fraîchement pondus, de discrimination ceci ou celà, c’est encore autre chose. Je me demande où est le toupet! Pas vous?

    Quant à "Badinguet 2", nul ne pourra contester le coup d’Etat du 2 décembre 1851, proclamant la dissolution de l’Assemblée, au demeurant plébiscitée le 20. La Constitution de janvier 1852, similairement à aujourd’hui, tendait à INVERSER les pouvoirs de l’exécutif et du législatif. C’est en celà qu’il y a ressemblance, d’autant que la dictature qui suivit, exerça une répression des oppositions républicaines et légitimistes, un serment de fidélité exigé des fonctionnaires, la suppression de la liberté de presse. Bien entendu, je conçois qu’il faille relativiser ceci, mais même si V. Hugo (encore lui) le surnommait "Napoléon le Petit", une véritable République parlemntaire manque cruellement aujourd’hui, et il apparaît clairement que les communes constituent le dernier bouclier (pas fiscal pour 2 sous celui là) pour bon nombre de concitoyens qui pensent différemment.

  12. 06/02/2008 at 00:49 J-33 et J-40

    @lecteurs et lectrices

    Comment rester indifférent quand faisant suite à l’anniversaire de la disparition de l’abbé Pierre, les 20% de logement social quand ça n’est pas 3, 5, ou 8, ne sont pas atteints. Pourtant il faut bien admettre que la résolution de ce problème est cruciale au même titre que celui de la précarisation de la santé, et que même si les solutions impliquent le national, elles impliquent aussi largement le local. Comment imaginer un seul instant, que le retour vers un emploi décent, ou un emploi tout court (faut-il le préciser, source aussi de recettes utiles à la santé par exemple qui subit bien un déficit de recettes, sans compter d’autres taxes liées au logement), puisse ne pas passer par le logement? Dans ce domaine, malgré le droit opposable au logement, qui se brise soi-disant immanquablement sur les budgets, personne n’ose parler de "non droit". Je ne connais pas toutes les rues de Bordeaux comme ma poche, pourtant en passant à quelques centaines de mètres de l’hôtel de ville, le cours V. Hugo (justement), tout proche de Saint-Michel qui n’a que très lentement progressé, mériterait bien mieux… . Pour revenir sur la "paternité" de ces questions essentielles, il est récurrent dans l’actuelle majorité, quand ça n’est pas l’usurpation de l’héritage culturel de noms propres voire de noms communs comme "grenelle", d’avoir recours à ce genre de procédé pour des raisons peu glorieuses. Ceci me fait penser, alors que la tentation d’abolir les clivages gauche/droite est d’actualité, au moment où J.C. Delmas remettait à Mr A. Juppé "les clés de la ville" de Bordeaux. Depuis longtemps déjà, des pionniers "de gauche", ces fameux "intellos", "les chabadas" comme je le lis sur ce blog, en matière d’environnement, avaient devancé les autres, à fortiori ceux de droite. Après les 30 glorieuses, leurs inconditionnels comme son prédécesseur, disait du tramway à Bordeaux, qu’il était "ringard". Ce temps de latence entre les propositions de gauche, et la nécessité de les mettre politiquement, démocratiquement, économiquement, socialement biensûr en application, est malheureusement un peu long. Quand ça n’est pas le racket des voix frontistes sur fond d’immigration zéro ou de tests ADN fraîchement pondus, de discrimination ceci ou celà, c’est encore autre chose. Je me demande où est le toupet! Pas vous?

    Quant à "Badinguet 2", nul ne pourra contester le coup d’Etat du 2 décembre 1851, proclamant la dissolution de l’Assemblée, au demeurant plébiscitée le 20. La Constitution de janvier 1852, similairement à aujourd’hui, tendait à INVERSER les pouvoirs de l’exécutif et du législatif. C’est en celà qu’il y a ressemblance, d’autant que la dictature qui suivit, exerça une répression des oppositions républicaines et légitimistes, un serment de fidélité exigé des fonctionnaires, la suppression de la liberté de presse. Bien entendu, je conçois qu’il faille relativiser ceci, mais même si V. Hugo (encore lui) le surnommait "Napoléon le Petit", une véritable République parlemntaire manque cruellement aujourd’hui, et il apparaît clairement que les communes constituent le dernier bouclier (pas fiscal pour 2 sous celui là) pour bon nombre de concitoyens qui pensent différemment.

  13. 06/02/2008 at 10:35 Le salueur

    Madame DELAUNAY, je me permets de renouveller mes interrogations .

    Ai-je à quelque moment tenter d’altérer « …cette démocratie informatique… » dont vous parlez. Si oui, je vous prie de bien vouloir m’indiquer à quel moment afin que je me corrige.
    Qu’importe pourquoi moi, je serai « …en premier lieu… » tenu de respecter cette régle.

    Je reprends votre propos : « si notre liste est élue, je conserverai un poste d’adjoint » a contrario, j’en déduis que si votre liste n’est pas élue mais que, vous, vous le soyez, vous ne siégerez pas !
    Ai-je tort ?

    Pour ce qui concerne l’image que je donne de mes idées, je ne m’en soucie pas. Je sais mes convictions et les veux empreintes du principe de la nécessité absolue du respect que je dois à l’Autre. Je ne cherche pas à en donner tel ou tel reflet et ne distingue pas en principe entre le fond et la forme. Je crois qu’en politique comme en bien d’autres domaines il faut être soi-même. Ai-je tort ?

    D’autre part, comment peut-on écrire qu’il n’y a pas de piscine au Grand Parc

  14. 06/02/2008 at 10:35 Le salueur

    Madame DELAUNAY, je me permets de renouveller mes interrogations .

    Ai-je à quelque moment tenter d’altérer « …cette démocratie informatique… » dont vous parlez. Si oui, je vous prie de bien vouloir m’indiquer à quel moment afin que je me corrige.
    Qu’importe pourquoi moi, je serai « …en premier lieu… » tenu de respecter cette régle.

    Je reprends votre propos : « si notre liste est élue, je conserverai un poste d’adjoint » a contrario, j’en déduis que si votre liste n’est pas élue mais que, vous, vous le soyez, vous ne siégerez pas !
    Ai-je tort ?

    Pour ce qui concerne l’image que je donne de mes idées, je ne m’en soucie pas. Je sais mes convictions et les veux empreintes du principe de la nécessité absolue du respect que je dois à l’Autre. Je ne cherche pas à en donner tel ou tel reflet et ne distingue pas en principe entre le fond et la forme. Je crois qu’en politique comme en bien d’autres domaines il faut être soi-même. Ai-je tort ?

    D’autre part, comment peut-on écrire qu’il n’y a pas de piscine au Grand Parc

  15. 06/02/2008 at 10:58 Le salueur

    Test ADN, Badinguet, logement social, Grenelle, Saint Michel, Chaban, coup d’état, l’abbé Pierre…
    Quel fouillis !

    Autre petite chose aussi quand même. Savoir si nous sommes dans un régime parlementaire ou présidentiel mérite quelques lignes d’analyse. Ce n’est pas forcemment le lieu ici.
    Toutefois si vous souhaitez un parlementarisme plus fort, compte tenu de la position (il faut dire les positions ) de la gauche et du PS en particulier, à Versailles, je ne crois pas qu’on va vers le simple !
    Bref, un retour à la III ème ou à la IV ème République en pire.

    Ces divisions au sein du Parti Socialiste et de la gauche en général, divisions pour le moins stériles, sont elles éventuellement possibles dans la liste que vous avez constituée.
    Sereinement, quelqu’un peut-il me répondre ?

  16. 06/02/2008 at 10:58 Le salueur

    Test ADN, Badinguet, logement social, Grenelle, Saint Michel, Chaban, coup d’état, l’abbé Pierre…
    Quel fouillis !

    Autre petite chose aussi quand même. Savoir si nous sommes dans un régime parlementaire ou présidentiel mérite quelques lignes d’analyse. Ce n’est pas forcemment le lieu ici.
    Toutefois si vous souhaitez un parlementarisme plus fort, compte tenu de la position (il faut dire les positions ) de la gauche et du PS en particulier, à Versailles, je ne crois pas qu’on va vers le simple !
    Bref, un retour à la III ème ou à la IV ème République en pire.

    Ces divisions au sein du Parti Socialiste et de la gauche en général, divisions pour le moins stériles, sont elles éventuellement possibles dans la liste que vous avez constituée.
    Sereinement, quelqu’un peut-il me répondre ?

  17. 06/02/2008 at 11:09 M.V.

    @J-33 et J-40
    Ce qui se passe en ce moment avec "Badinguet2", va au-delà des conséquences du 2 Décembre 1851.
    On assiste actuellement, avec le "phagocytage" des médias, les nouvelles dispositions concernant la justice, l’Education et l’Enseignement National…etc… à une volonté de tuer la pensée à la racine; c’est une oeuvre de rabaissement de l’humain qui est en marche.

  18. 06/02/2008 at 11:09 M.V.

    @J-33 et J-40
    Ce qui se passe en ce moment avec "Badinguet2", va au-delà des conséquences du 2 Décembre 1851.
    On assiste actuellement, avec le "phagocytage" des médias, les nouvelles dispositions concernant la justice, l’Education et l’Enseignement National…etc… à une volonté de tuer la pensée à la racine; c’est une oeuvre de rabaissement de l’humain qui est en marche.

  19. 06/02/2008 at 13:28 M.V.

    Je lis dans mon journal que la loi électorale votée à la veille des législatives de 2006 par la majorité berlusconienne pour limiter la victoire de R.Prodi, a été qualifiée par son auteur lui-même (Roberto Calderoli, Ligue du Nord), de "cochonnerie".
    Berlusconi vient de refuser les propositions de la gauche pour réformer le mode de scrutin (par le truchement d’un cabinet provisoire).
    En Italie, on déteste cette loi qui garantit l’instabilité gouvernementale.
    Pourquoi Romano Prodi, qui à cause de cette loi a été élu de justesse, en a-t-il attendu l’ultime conséquence, c’est-à-dire la nécessité de sa démission, pour mettre en oeuvre sa modification ou son abrogation?
    Si quelqu’un a une réponse pour moi…
    En attendant, Sarkozy en France, Berlusconi en Italie, quel programme!
    Il parait que les Italiens sont résignés, que faut-il faire?

  20. 06/02/2008 at 13:39 M.V..

    Si les gesticulations guignolesques déstabilisent certains, il en est d’autres qui récupérent et nous ne sommes pas tirés d’affaire!
    François Fillon, un homme discret, réservé, bien propre sur lui, comme les Français aiment, a construit de concert avec le président, le programme qu’il va continuer à mettre en oeuvre avec une froideur implacable (c’est mon ressenti qui n’engage que moi).

  21. 06/02/2008 at 13:39 M.V..

    Si les gesticulations guignolesques déstabilisent certains, il en est d’autres qui récupérent et nous ne sommes pas tirés d’affaire!
    François Fillon, un homme discret, réservé, bien propre sur lui, comme les Français aiment, a construit de concert avec le président, le programme qu’il va continuer à mettre en oeuvre avec une froideur implacable (c’est mon ressenti qui n’engage que moi).

  22. 06/02/2008 at 17:33 JEAN-REMY

    M.V tu as raison et cela serait être un doux rêveur de croire le contraire .

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