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Cris d’orfraies des services de sécurité du groupe Accor « Prétendre que l’on aurait, depuis Paris, influencé la police new yorkaise, c’est du délire ! ».

Les mots sont importants. La question n’est pas d’avoir « influencé » la police américaine, qui en effet à peu à faire de l’avis du chef de la sécurité d’Accor. L’interrogation porte sur les contacts pris par le Sofitel pendant l’heure qui a séparé les faits reprochés à DSK et l’appel de la police.

Il doit être tout à fait aisé de connaître la nature des appels téléphoniques et leur direction. Pourquoi ne pas simplement proposer qu’ils soient examinés ?

Le bon sens, le souci de la clarté doivent prévaloir sur les protestations et les cris d’indignation. Nous savons qu’il y a peu de chance de savoir avant 20 ans toute la vérité de cette affaire, mais nous n’avons aucune envie de nous y résoudre sans exprimer au moins que, si on le voulait, il serait possible de l’obtenir.

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