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C’est cette fois, non pas le baron de la Brède, mais Hugo qui vient se mêler de notre vie politique. Avec un portrait à la Mauriac à destination de qui vous savez.

 » »Il aime la gloriole, le pompon, l’aigrette, la broderie, les paillettes, les grands mots, les grands titres, ce qui sonne, ce qui brille, toutes les verroteries du pouvoir ».

J’ai failli remplacer la broderie par les Rolex, l’aigrette par la flotte présidentielle, les paillettes par les starlettes…

mais pour l’extrait suivant, il n’y a pas un mot à changer : « Il a pour lui désormais l’argent, l’agio, la banque, la bourse, le comptoir, le coffre-fort et tous les hommes qui passent si facilement d’un bord à l’autre quand il n’y a à enjamber que la honte »

Jusqu’au surnom qu’il donne à celui dont il parle qui ne convienne à merveille à celui à qui nous pensons : « Naboléon ».

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