Grèce : Euro qui comme Ulysse..
le mardi 1 novembre 2011 à 20h12
Plus que jamais ne faisons pas dans le réactionnel, ni dans l'émotionnel. Pour ce que nous savons, essayons de le peser et de le comprendre.
La réaction de la Grèce n'est pas sans grandeur. Les délais d'ici l'éventuel référendum paraissent intenables, le risque parait insurmontable. Mais s'il s'agissait de mettre l'Europe -et les marchés- devant leurs responsabilités ? S'il s'agissait d'exprimer que personne n'est obligé de subir sans rien avoir à dire ? Et qu'un seul petit pays peut faire ébouler le domino, quitte à y périr lui-même ?
Irresponsable ou kamikaze, le Président Papandréou ? Désireux de se sauver ou capable de se sacrifier ? Je n'ai pas l'ébauche d'une réponse. De ce que je lis ou écoute, je ne trouve rien de beaucoup plus décisif, ce qui à la fois me rassure et m'inquiète. Car il n'est pas totalement exclu que ceux qui ont le moindre pouvoir de décision ou d'influence ne soient pas très éloignés de cette absence de certitude et de réponse.
N'écartons pas de notre esprit, la nécessité que notre candidat, s'il n'est pas aux affaires, se comporte comme s'il y était. S'exprime en homme d'Etat quand il jugera en avoir la matière et les mots. Mais en tout cas avant le sommet de jeudi.
Commentaires
Si Sarkozy propose un referundum demain avant de valider un montant de participation de la France au plan de sauvetage grec, on le traitera de populiste....
Le sauvetage de la zone euro impose une solidarité europeenne que Papandréou n'honore pas en ne consultant que son électorat dont la réponse aura des conséquences de Dublin à Rome en passant par Berlin. Aucun peuple ne dira oui à la rigueur. Peu de Francais accepteraient de se serrer la ceinture pour sauver la Grèce de la faillite si on leur demandait leur avis par referundum. La crise entraine un repli sur soi légitime, mais plus que jamais contre productif. Ou alors Papandréou pose une question tronquée (voulez-vous quitter l'Union Europeenne) et sa consultation n'aura été qu'un coup marketing de politique intérieure.
C'est un effort collectif qu'il faut faire, et un referundum national ne va pas dans le sens de ce collectif.
Aude, je ne suis qu'à moitié de votre avis. Nous verrons ce que sera demain (au sens propre). Je n'exclus pas, sans le savoir, que Papandréou, qui est Grec -ce n'est pas un scoop- désire faire peser la voix de son peuple.
On ne gagne jamais à humilier les peuples : l'Allemagne l'a démontré dans les deux décennies qui ont suivi 1918
C'est peut être un coup de poker, pour faire bouger l'Europe et en lui imposant de prendre en compte l'expression des peuples. Merkel est allée devant le Bundestag. Mais les petites négociations (c'est un bien grand mot) de Sarkozy ont elles été l'occasion de la moindre présentation au Parlement ?
Aude, Michèle, et toutes les personnes de bonne volonté,
un document très important dans le cadre de ce qui se passe en Grèce...et ailleurs,
cette lettre ouverte de Mikis Theodorakis :
http://blogs.mediapart.fr/blog/lili...
Dès demain peut être, nous connaitrons mieux les motivations de Papandréou. En tout cas, il sait le risque qu'il court à l'intérieur puisqu'il vient de remplacer à l'instant l'état major de l'armée.
Tout cela est quand meme très inquiétant et je rejoins au moins en partie Aude
@Michèle : il n'est pas acceptable que le Parlement français n'ait pas été associé à une décision qui impacts le budget de la France (au-delà de la question de son positionnement extérieur, communautaire).
Pour autant j'attends de voir la question qui sera posée aux Grecs et je regrette qu'elle le soit en janvier (tardivement à mon avis). L'effort demandé aux Grecs est considérable, surement trop, mais sans tirer sur l'ambulance le paiement de l'impôt et des charges sociales paraît un minimum à demander, or ce sera déjà une quasi révolution pour eux.
Petit complément à mon comm précédent :
-n'oublions pas que le nouveau président de la BCE, Mario Draghi, est un ancien de...Goldman Sachs.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mario_...
Et on s'étonnerait que les Grecs s'inquiètent ?
sur ces deux points, Aude, plein accord
Peut-on demander à un peuple, grec et où naquit la démocratie soit dit en passant, d'hypothéquer les 20 à 30 à venir? Est-ce soutenable pas seulement pour l'estomac mais psychologiquement, pour les capacités mentales humaines à se projeter dans l'avenir?
Quand bien même Papandréou n'aurait pas pris une telle décision, quand et comment les Grecs auraient-ils pu réellement payer leur dette?
Face aux diktats imposés aux peuples de la toute puissante spéculation financière et de ses pratiques qui consistent à acheter 150 millions de tonnes de blé russe par exemple à bas prix puis 30 minutes après, sans que ces tonnes de blé n'aient physiquement bougé, les revendre plus cher et ainsi de suite de façon anarchique et sans la moindre limitation et sans qu'au bout du compte elles servent à nourrir les bouches auxquelles elles devraient être destinées, les mêmes peuples iront et vont déjà droit dans le mur avec la crise d'Octobre 2008 qui n'a en fait pas cessé!
Il n'existe donc pas d'autres moyens que de redonner le pouvoir au politique sur les banquiers rois, et donc, en démocratie, aux populations!
d'autre part, étant donné le mur, le cloisonnement existant entre la banque européenne et les états membres de la zone euro, tout dialogue d'ordre financier dans un sens comme dans les autres est impossible. La "planche à billet" européenne n'existe même pas alors qu'elle existe aux States s'agissant du dollar, comme en Angleterre s'agissant de sa monnaie par exemple.
L'europe et sa construction n'ont avancé qu'à partir de situations de crise. Celle-ci n'est pas à prendre comme un évènement négatif pour le long terme. Elle ne fait que révéler une faille dans le fonctionnement où rien n'a été prévu institutionnellement ou pas d'ailleurs dans pareil cas: un dispositif permettant d'ajuster entre chacun des principaux pays et la banque centrale la SOLIDARITé.
Dans le fond, nous arrivons à une étape charnière fondamentale pour les siècles à venir, où au lieu de s'entêter à sélectionner par le haut quitte à laisser sur le bord du chemin des millions de personnes, ou des peuples entiers, il est donné par la force des choses aux populations de s'exprimer afin de s'orienter vers un système où la solidarité serait le dénominateur commun et principe directeur.
Dit d'une autre façon: faut-il que toute dette de quelque nature que ce soit, soit à payer par les plus riches ou bien les plus pauvres?
C'est à peu près ce qui se passe en France à l'échelon national en terme de changement de mode de pensée si les électeurs veulent bien réfléchir 2 minutes. Alors que les politiques de droite se sont enfermées dans une logique qui consiste à placer au dessus du collectif, l'individuel, c'est à dire à ne pas bouger d'UN SEUL pour cent l'impôt sur le revenu au delà de 50% par exemple, à partir d'un certain montant de revenus annuels, ou encore pour résumer à faire payer la grande masse des plus pauvres du fait d'exonérations fiscales des plus riches; Puisqu'il faut bien boucler un budget, pourquoi voudriez-vous qu'un tel mode de pensée continue ad vitam eternam?
D'autres éléments certes entrent en jeu. je pense au sport favori des grecs qui consiste à feinter le fisc! Il y a aussi la non convertibilité actuelle de la monnaie chinoise qui fait que le montant annuel de ses exportations défie toute concurrence. Le seuil de supportabilité très faible des conditions de travail et environnementales des chinois.
Mais par dessus tout, il y a cette logique purement capitaliste, ultralibérale, qui consite à niveller par le haut, à mettre bien au dessus du collectif l'individuel, sans voir au delà de quelques années, sans se soucier de l'avenir plus lointain...
A Gerard. Faisons crédit (c'est le cas de le dire) à Mario Draghi; il a appris chez Goldman Sachs, cela ne veut pas dire qu'il a systématiquement adhéré.
Attendons... Les dossiers s'entassent déjà sur son bureau
À la fin, on sortira par le haut de cette crise à épisodes. Mais on aura tremblé. Au fond l'état d'esprit revendiqué dans ce billet est sans doute le plus judicieux : puisque l'on n'a pas fini d'en baver, économisons nos émotions et réfléchissons.
Si l'on ne peut agir en Grèce, on peut toutefois anticiper et se préparer en France à la montée du Front national qui prospère grâce à l'actualité : (Ennahda en Tunisie, la charia en Lybie et les idiots utiles des extrémistes à Paris par exemple Charlie hebdo, le pauvre peuple grec victime de l'arrogance de l"'établissement" européen, les rodomontades de Nicolas sarkozy, les politiciens de gauche qui se partageraient la peau de l'ours, etc.)
Le Front national est d'autant plus inquiétant qu'il couve, comme au printemps 2002.
"Faisons crédit ... à Mario Draghi; il a appris chez Goldman Sachs, cela ne veut pas dire qu'il a systématiquement adhéré."
Que vous êtes naïve!
http://ecologie.blogs.liberation.fr...
Ne nous répandons pas en conjectures et attendons la suite en ménageant notre salive et nos claviers. Probable futur président de la République, François Hollande est responsable et il a assurément été en contact direct avec Papandréou. Son rôle n'est pas de prendre la parole pour glisser des peaux de banane sous les pieds du Président de la République sortant (c'est-à-dire de la France) sur la scène internationale, quand bien même ce dernier est son futur challenger à la présidentielle. En toute logique, il ne devrait donc donner son point de vue qu'à l'issue du G20.
enfin le gros problème c'est pas que la Grèce mais bien toute l'europe et la Papandréou a ouvert une brèche
doit on continuer avec une Europe pour les banques, le monde de la finance et celui des grosses entreprises et qui aujourd'hui du nord au sud de l'est a l'ouest va en payer la facture de 30 ans de non construction de l'europe pour les citoyens ce qui deja en cours puisque l'an dernier la loi des retraites c’était dans ce but, la diminution du nombre de fonctionnaire idem problème de chomage et pauvreté s'y rajoutant etc....
enfin la nous sommes a six mois des élections en France et toujours des discours langue de bois pour pas affoler mais tout de même des conséquences qui se ressentent toujours plus dans la société alors c'est beau une belle primaire de belle promesse électorale pour attirer le chaland en sus avec les même personnages politiques qui font le devant de la scène depuis fort longtemps.
alors il ne faut pas croire a des miracles en mai 2012 la réalité des choses va rattraper celui qui prendra les rênes de notre pays et il devra si rien n'est remis a plat bel et bien imposer plus de rigueur a de la soit disant gestion rigoureuse du gouvernement a ce jour en place.
toutes les cartouches pour que cela se fassent en douceur depuis fort longtemps ont été grillée surtout du fait du traité de Maastricht comme celui de Lisbonne qui n'a rien améliorer mais bel et bien conforte un modèle de société ultra libéral qui a creuser la tombe de l'europe des citoyens pour les citoyens et par les citoyens.
il m’étonnerait fort que notre pays puissent s'en sortir sans y perdre encore un peu plus de son modèle social de moins en moins protecteur aller encore un peu de temps et une nouvelle loi pour les retraites nous attends, encore un peu et augmentation de la fiscalité par le bas, encore un peu et on va allègrement faire exploser le chômage, la pauvreté et cela par la droite libéral ou la gauche social libéral ce sera idem 30 ans que je vote 30 ans ou c'est de pire en pire et c'est deux orientations politique ont été a tour de role au commande.
donc il ne faut pas dire que demain sera mieux pour faire rever les gens mais que la seule qui soit c'est que demain les citoyens puissent avoir leur mot a dire pour rebondir plutot que voir les autres qui s'engraissent sur leur dos ne rien régler comme problème
C'est vrai, Michèle, qu'il aurait été plus correct d'au-moins
"faire crédit" à M. Draghi.
-Je suis de tempérament plutôt volcanique,
-le type, qui était vice-président de cette banque pourrie au moment où on peut dire qu'elle a assassiné la Grèce, ne m'inspire aucune confiance,...,
-c'est tout ce qui est social qui est menacé en Europe, comme explique bien Patrice dans son comm ci-dessus. Or, comme "rien ne se perd, rien ne se créé", le fric qu'on vole aux pauvres atterrit bien quelque part ?
Evidemment, il est inexact aujourd'hui que "rien ne se crée" : avec leur monnaie scripturale, monnaie virtuelle, les banques ont réussi, en plus de piller la Planète, de faire passer Lavoisier pour un demeuré !
La monnaie prêtée est toujours virtuelle...Alors pourquoi des intérêts réels là dessus ?
Evidemment, tout ça est fort complexe.
Néanmoins, il y a déjà eu le "modèle argentin", et plus récemment la position de l'Islande.
merci mon cher gerard enfin sache une chose à plusieurs reprises j'avais abordé le problème de la dette qui hélas va être le seul thème des prochaines élections et qui risque bon an mal an de permettre à la droite de renouveler son bail pour 5 ans
et cela pourquoi car nous sommes bien au fond du trou (enfin presque a cause du plan de rigueur en cours 20 milliards de ponction en plus dont les dégats vont être énorme, pas dans l'immédiat même mais tout doucement) et qu'il n'est pas envisageable de pas faire de la rigueur car la leçon grecque qui pourtant est a notre vue depuis plus de 18 mois personne n'a pas conscience que l'europe est en train de se tuer de manière lâche car mutuellement en ne laissant pas les citoyens décider mais en se servant de la bureaucratie européenne pour nous dire que une autre voie n'est pas possible bureaucratie libérale bien entendu.
lorsque je regarde les chiffres négatif ci ou la cela m'affole plus que tout comment résorber 90 milliards de déficit étatique, 20 de celui de la sécu, 10 au niveau du financement des assedics alors que la croissance est nulle ou presque que socialement notre pays est en dessous de ce qui peut le faire rebondir.
ce qui est complexe c'est sans sortir mais avec une europe ultra liberale du nord au sud de l'est à l'ouest une europe de l'argent pour l'argent remettre à plat comme en 1945 par le cnr un système de société juste c'est devoir sortir de l'europe pour ne plus être sous la main mise de l'argent roi, c'est faire fi des syndicats de patron ou du monde de la finance pour réguler notre économie pour être créateur de richesse permettant de se désendetter mais le gros problème est bien notre endettement qui hélas nous lie pied et poing lié avec un système de société ultra liberal.
voila pourquoi notre modèle social un peu encore protecteur va en prendre un coup fatal car il nous est imposé d'y mettre fin par le pouvoir de l'argent tellement opaque que s'opposer à lui est presque impossible
"Notre modèle social va en prendre un coup..."
C'est vraisemblable, Patrice. C'est d'ailleurs ce que revendique notamment Denis Kessler (et quelques autres ) depuis plusieurs années.
Questions qu'il faut se poser : est-ce ce modèle social qui coûte trop cher, ou autre chose ?
Etant donné le vieillissement de la population, et une difficulté à envisager une pyramide des âges tenant compte de la démographie galopante et des limites des ressources (revoir le billet " 7 milliards"),..., c'est vrai que des choses doivent être revues.
Mais il n'y a pas que le modèle social qui coûte cher : 2 % de la population mondiale possède 50 % des ressources de la Planète, pendant que 5O % survit (on se demande comment...) avec un minable % des richesses qui devraient appartenir à tout le monde. Il faut se pencher d'urgence sur cette inéquation inique.
Ce qui sera difficile : la Chine serait en train de "racheter" l'Europe. Donc, mondialisation obligeant, il risque d'y avoir nivellement par le bas, çàd alignement des conditions de vie ici sur celles en Chine ( Une centaine d'euros mensuels pour des horaires pouvant atteindre 70 heures/semaine).
Bref, étant donné l'inéquation 2-50, 50-1, il y aurait encore moyen,..., mais certains intérêts en jeu restent prioritaires sur la condition humaine. Jusqu'au jour où ça craquera...
Tout compte fait, le recours à l'expression démocratique du peuple grec sur son avenir honore pleinement son Gouvernement. Il réintroduit de la démocratie, dans un contexte de crise aigüe, alors que ce principe devrait être beaucoup plus répandu en situation normale. Il réintroduit également le peuple dans un débat technocratique qui le concerne pourtant au premier chef.
Je cours le risque de me tromper, mais je ne cède pas aux commentaires alarmistes que l'on entend à longueur d'antenne depuis deux jours. Personne n'a intérêt à l'éclatement de l'euro, et à fortiori encore moins à celui de l'Union Européenne. Les deux devraient donc survivre à cette crise... A y regarder de plus près, l'histoire européenne retiendra peut être que Papandreou a eu le courage d'un acte fondateur : celui d'inverser l'approche de la crise, en plaçant la démocratie et le social au dessus des exigences des marchés. C'est peut être cela qui explique le ton apocalyptique de certains commentaires.
Superbe analyse, Pascal :
" La démocratie et le social au-dessus des marchés".
Tout est dit : le monde peut ainsi se remettre à tourner rond.
Et si ceux qui ont tiré jusqu'à rupture les ficelles de ces marchés sordides, ces terroristes en col blanc comme écrivait JC Guillebaud, font mine de revendiquer, suffit de les envoyer dans les mines de sel ou d'uranium, où l'on manque de personnel. Travailler vraiment leur changerait les idées...
le débat est lancé la démocratie la vraie et le social le vrai au dessus des marchés mais combien de chemin a faire pour y faire adhérer les 26 autres pays européens qui ne représente pas pour beaucoup leur citoyens mais juste la petite partie des 2 % ou un peu plus celle qui se fait enchanter par le chacun pour soit qui impose tout pour leur seul profit ou le seul mot en bouche est libéralisme capitaliste.
la Grèce vient de faire le premier pas sur ce sujet en tout honneur les autres désormais tremblent vont il lui emboiter le pas ou alors encore tourner autour du pot qu'en pense mme delaunay nouvelle en politique par rapport a ceux qui se sont présenter a la primaire socialiste avec le succès qu'a eu celle ci peut être et certainement de ce fait mais qui a fait constater tout de même un non renouvellement de cette élite et de ceux qui gravitaient autour chose qui est de même dans d'ailleurs localement chose qui est mauvais.
cela dans le mesure ou pour avancer des idées avant-gardistes, des idées qui fassent que l'on avance a nouveau il est une évidence même ou cela ne peut pas faire que ceux qui se présente comme une élite représentative tout compte fait contredise une politique qu'il mène depuis des lustres et qui commence plus que faire de chaque électeur des abstentionnistes.
sincèrement c'est pas notre modèle sociale qui coute cher c'est ce qu'il est devenu de fait celui d'un système ou les pauvres sont de plus en plus pauvre ou le chômage bien trop important et d'autre chose qui amène automatiquement un besoin supplémentaire de finance que n'importe quel pays est incapable de trouver de fait car la croissance est insuffisante pour cela enfin c'est le serpent qui se mort la queue a l'infini parce notre richesse acquise lors des 30 glorieuses a depuis longtemps était non pas gaspiller mais a disparu corps et ame après 1973 mais surtout après le traité de Maastricht sur les marchés financiers à spéculer .
donc seule logique qui marche dans une société ultra libérale du chacun pour soit c'est de mettre a bas le social chose que les gens acceptent sans bouger (en ont il encore les moyens) tout le temps ou cela ne les touche pas ou peu en nous expliquant que ceci c'est dut à la mondialisation, dut a des besoins d’être productif par rapport aux autres, dut a l'augmentation de la durée de vie, dut à la démographie.
je crois que notre "démocratie" si elle veut encore exister en tant que tel est redevenir une Démocratie se doit de s'ouvrir aux citoyens pas seulement en les écoutant mais bel et bien en leur ouvrant les portes des endroits ou l'avenir de tous se décide plutôt que cela se fassent en petit comité restreint qui sont devenu des carriéristes de la politique veulent nous faire avaler n'importe quoi comme discours et qui ne règle rien chose que je peut que constater en regardant la chaine parlementaire qui lasse et fait que les citoyens de fait commence a détester ce que doit être la politique sans oublier de ce coté les petites affaires ci ou la qui discrédite certain mais qui s'accroche pourtant a leur poste d’élu vaille que vaille
"que notre candidat s'exprime en homme d'Etat quand il jugera en avoir la matière et les mots"... dites vous
Oui !
Qu'il trouve un discours qui respecte le peuple Grec et ses dirigeants, qui explique les enjeux et montre la voie de sortie vers le haut....
rapidement, simplement, efficacement, maintenant !