Avons-nous vraiment aboli la peine de mort ?

dimanche 18 mai 2008

Avons-nous vraiment aboli la peine de mort ?

Par Michèle Delaunay, dimanche 18 mai 2008 à 00:43 dans Brèves

Un suicide tous les trois jours dans les prisons françaises.

Oui, on peut se poser la question : avons-nous vraiment aboli la peine de mort ?

Commentaires

1. Le dimanche 18 mai 2008 à 08:44, par La Chaloupe

"Belle" question...

Le couperet ne tombe plus, les corps vivants ne sont plus fendus en deux par décision de justice... (Merci à F. Mitterand et R. Badinter).

Mais le chiffre est là !

La mort cachée, la mort anonyme...
Le sordide, l'insoutenable est au sein même des prisons.
La surpopulation carcérale, le non-suivi des détenus, la non-réinsertion...

Il serait interessant de trouver les chiffres des suicides en prison avant 1981, puis tous les 5 ans depuis, pour se rendre compte de "l'évolution" des prisons française.

Merci Michèle pour tes alertes répétées sur ce sujet...

2. Le dimanche 18 mai 2008 à 09:34, par LR

@Michèle,
Tes combats sont tous essentiels et courageux.
Celui-ci, pour la dignité de la condition pénitentiaire, n'est pas très "porteur" dit-on. L'indifférence, en effet assez générale, face à ce scandale est dûe sans doute pour beaucoup à une complicité du silence sur ce sujet tabou. Malgré l'avalanche des combats à mener (OGM, sans-papiers, etc...) il ne faudra surtout pas lâcher celui-là !
Rachida DATI, encore interpellée à Nice sur des "injustices" de notre société, répète en boucle : "çà, c'est de l'IDEOLOGIE, la gauche n'a pas d'idées...".

PS : Pour info, j'ai rajouté hier un petit commentaire au précédent billet du 15 mai.

3. Le dimanche 18 mai 2008 à 11:48, par Alain

La peine de mort a bien été officiellement abolie en 1981. Je crois que nous sommes là dans une démarche bien plus perverse. La condamnation des jurés ne fait plus couler le sang sous la lame, mais il arrive que ces derniers prononcent à leur insu une double peine. On sait bien en effet que le texte de leur jugement peut contenir une clause tacite : "jusqu'à ce que mort s'ensuive". Les conditions de l'exécution de sa peine font que le détenu est parfois acculé à trouver sa délivrance dans la mort, comme un malade irrémédiablement condamné par une "longue et douloureuse maladie". Dans tel cas de figure, nous sommes proches, me semble-t-il, de l'euthanasie parfaite, comme on le dit du crime : la société policée ne voit pas ce qu'elle aurait à se reprocher quand, tout compte fait, un être humain lui donne la preuve qu'elle a été trop clémente avec lui. Est-on si loin, au passage, d'un adolescent humilié qui se lance d'une fenêtre du troisième étage de son lycée pour une mauvaise note cruellement commentée ? Tout milieu carcéral est une antichambre de la mort. Il faut continuer de se tuer à le répéter.

4. Le dimanche 18 mai 2008 à 18:50, par James

@ La Chaloupe
Une rapide recherche sur google a donné les résultats suivants:
Suicides en prison:
1980: 39
1985 : 65(environ)
1988: 77
1990: 59
puis une forte augmentation:
1992: 95
1996: 136
1997: 125
1998: 118
1999: 125
2001: 104
2002: 120
2004: 115
2005: 122 (1er semestre 51)
2006, 1er semestre 43

taux de suicide par rapport à la population pénale:
1993: 0,19 %; 1994: 0,19; 1995: 0,20; 1996: 0,24; 1997: 0,22; 1998: 0,22%

tentatives de suicide: 1998: 1006

Trois tentatives de suicide par jour; trois décisions de grève de la faim par jour; un suicide réel tous les trois jours...

Par rapport aux suicides survenant en liberté, la France compte un pourcentage nettement au-dessus de la moyenne européenne des suicides en prison.

Intéressant aussi la proportion des suicides des prévenus par rapport à ceux des condamnés:
1988 prévenus 48, condamnés 29
1990 " 46, " 21
1992 " 60, " 35
1996 " 62 " 76
1997 " 76 " 49
1998 " 60 " 58

Je ne me sens pas en mesure d'interprêter ces chiffres, mais ils m'impressionnent...

5. Le dimanche 18 mai 2008 à 19:05, par jphd

Un sujet grave, alarmant et aussi récurrent, que Michèle ne manque pas de rappeler à juste titre à notre conscience. La condition carcérale, face cachée de notre société, son autre visage...
Il faut en parler, redire aussi la cause de la peine, sa justification, son bien fondé, son objectif...
Loin s'en faut, je crois, le sujet n'est pas anti-électoraliste comme on a pu le lire ici.
Mais, encore, il est regrettable qu'aborder une telle question ouvre, chez certains, une large voie à la dérive de leur conscience. Dérive facile, partisane et racoleuse, et dangereuse aussi car insidieuse. Je cite : "... nous sommes là dans une démarche bien plus perverse...".
L'allusion est à peine formulée... Le sciemment, si légérement suggéré...
"Tout milieu carcéral est une antichambre de la mort", et on parle aussi du lycée...
Ou sommes nous ?
Quelle attention peut-on raisonnablement porter à de tels propos,
sérieusement ? Je crois bien que l'on à faire, ici, à un spécialiste, et pour rester dans le sujet, à un récidiviste, un multirécidiviste même.
C'est édifiant mais pas vraiment dans le sens qu'il faudrait, et on peut bien parler d'esprit moyennement pertubé, de sincérité, faire le reproche d'un style, qualifier un esprit de partisan mais attention à ce qu'en voulant à tout prix défendre ses condisciples, on ne se trouve aspiré dans leur abîme, que l'on ne tombe pas soi même dans l'excès que l'on entend dénoncer.
Il est vrai que nous sommes bien dans un système politique binaire : droite/gauche, majorité/opposition... Cela dit, sans être à la recherche permanente de solution in mituis, de compromis à tout crin, chacun pourrait peut-être faire la part des choses et voir vraiment qui glorifie sans la moindre réserve qui ou quoi. Ainsi, sans doute, avancerait-on un peu.

6. Le dimanche 18 mai 2008 à 19:34, par NR

Cela ne m'étonne pas qu'un certain jphd essaie encore, sur ce ton lénifiant, de banaliser ce qui est une vraie catastrophe humaine et humaniste. Il sent bien où le bat blesse, bien plus encore depuis l'arrivée de ses amis au pouvoir qui n'ont rien à cirer de cette population en détresse. Non, au contraire, ils veulent l'augmenter encore avec des lois et l'application de ces lois qui montrent une tendance de l'extrême répression et où la prévention, la mise à disposition des moyens matériels et humains nécessaires sont remises dans les coins les plus sombres de la politique, en surfant sur les instincts les plus bas et la déraison la plus marquée de leur électorat.

7. Le dimanche 18 mai 2008 à 19:44, par michele

merci à tous, la chaloupe, alain, james... de la qualité de vos commentaires, de l'effort que vous avez fait de regarder les chiffres, cette réalité "inconvenante" (=qui ne convient pas) qu'est la prison.

Il faut qu'elle soit, qu'elle devienne, un outil d'insertion, de reprise d'une vie normale, sinon elle manque son objectif : punir mais aussi protéger la société. Si elle n'est qu'une école de récidive, un outil d'humiliation, elle passe complètement à côté de ce que croient beaucoup de citoyens : aider à leur sécurité ; elle va même tout à l'inverse.

8. Le lundi 19 mai 2008 à 11:11, par Gérard ELOI

Des conditions de détention barbares sont une honte pour le pays. Et sont à rapprocher d'autres tares de notre époque : la traque aux sans papier conduisant à des expulsions sauvages et mortelles, la paupérisation galopante et son cortège de sans ressources, sans-abri,...Une véritable peste sociale a frappé notre société.
Je ne veux pas déclencher de polémique, mais je rappelle que la situation est bien connue du pouvoir en place, et que ce pouvoir en place a été approuvé par une majorité d'électeurs. Est-ce à dire que dans le secret de l'isoloir, une majorité de personnes aurait voulu "çà" ?

Je ne pense pas. Mais je suis sûr que le rythme et les exigences de la vie actuelle ont conduit l'humain à se replier sur lui-même, à cause de la surabondance de ses préoccupations : mon logement, mon boulot, mon pouvoir d'achat, mes obligations, mes factures,...Tout ce que je possède est précaire, tout garder est une lutte perpétuelle. Il n'y a plus de place pour "les autres" : je ne peux penser que 24 H par jour...

On ne peut pas reprocher à la personne qui travaille, qui passe aussi beaucoup de temps en trajets domicile-boulot, qui fait face à divers travaux d'aménagement, qui doit jongler avec les horaires scolaires des enfants, avec les problèmes de santé des aînés,...d'oublier qu'il existe des sans papier,des sans abri, des prisonniers,...

Il y a sans doute actuellement une sorte d'indifférence aux problèmes des "autres". Une indifférence qui n'est pas née de simple égoïsme, mais de manque de temps et de moyens, de manque de repères,...

Il y a donc un énorme travail de reconstruction de la société à effectuer. " Construire une école, c'est vider une prison", disait Victor Hugo.
Comment aborder ce travail de reconstruction ?
Il faudrait peut-être d'abord que chacun redevienne conscient de l'importance vitale de la solidarité dans la société. Il faudrait que chacun comprenne qu'on n'est pas "solidaire" pour "donner aux pauvres", mais que la solidarité doit exister parce que chacun risque d'en avoir besoin. Il peut y avoir un sans emploi, un sans logis, un malade, un condamné,...dans toutes les familles. " Si je ne laisse pas tomber les autres, ils ne me laisseront pas tomber..."

Mais c'est peut-être un peu utopique ?

9. Le lundi 19 mai 2008 à 11:44, par NR

Non, Gérard, ce n'est pas forcément "utopique" car une autre façon de concevoir la société française a existé jusqu'à un passé récent, un passé où le principe de solidarité, appelé aussi à l'ancienne "fraternité", a été un des socles de la République. Bien sûr, le monde a changé et une mise à jour du principe, son adaptation à la réalité d'aujourd'hui est nécessaire, mais le principe doit rester et là où la droite essaie de le battre en brèche, être défendu, voire restauré où il a déjà été sacrifié dans le cadre d'une nouvelle distribution des richesses et des fruits du travail. C'est cela notre devoir de la gauche démocratique.

10. Le lundi 19 mai 2008 à 11:54, par James

Quelques nouveaux chiffres sur le suicide en prison:

Royaume-Uni 2005: 78; 2006 67
Allemagne 2000 - 2004 un total de 464 donc une moyenne de 90/an.

Cela suggère une meilleure prévention où de meilleures conditions de vie et de travail par rapport à la France, mais, comme j'ai dit dans mon commentaire précédent, je ne voudrais pas m'aventurer dans l'interprétation de chiffres qui cachent beaucoup de facteurs et nécessiteraient une analyse très difficile par des chercheurs disposant de connaissances et informations très spécifiques.
Un chiffre m'a d'ailleurs frappé: le taux et le nombre très faibles de suicides chez les femmes en prison. Sont-elles moins vulnérables, mieux prises en charge que les hommes?

11. Le lundi 19 mai 2008 à 12:45, par jphd

En général la messe se dit le dimanche. Parfois, dans certains endroits, c'est le lundi matin... La qualité des prêches se ressent toujours un peu du décalage. On ne peu échapper à formuler quelques petits correctifs aux sermons prononcés. Solidarité et fraternité, moi je fais une petite différence entre ces deux idées. La solidarité est souvent institutionnalisée, déléguée, machinale, anonyme et automatique. La fraternité, c'est plus individuel, personnel, c'est l'implication de soi. C'est le geste avec l'intention, le regard sur l'autre... Cela ne se décrète pas, c'est une affaire entre soi et.. soi même. Lénifiant, encore ces propos...
Sûr, que lire à longueur de commentaires les soi-disant vertus de la gauche, c'est pas rasoir...

Bon, enfin.

Juste un dernier petit truc après la lecture d'un "post" lu un peu plus haut, je cite :

" ... mais que la solidarité doit exister parce que chacun risque d'en avoir besoin. Il peut y avoir un sans emploi, un sans logis, un malade, un condamné,...dans toutes les familles. " Si je ne laisse pas tomber les autres, ils ne me laisseront pas tomber..."

C'est beau le désintéressement...

12. Le lundi 19 mai 2008 à 18:13, par Elias

Encore des c.. prétentieuses de jphd. Ce n'est pas étonnant qu'il ne trouve pas de job. Même pas chez ses amis.

13. Le lundi 19 mai 2008 à 18:14, par Elias

Encore des c.. prétentieuses de jphd. Ce n'est pas étonnant qu'il ne trouve pas de job. Même pas chez ses amis.

14. Le lundi 19 mai 2008 à 19:45, par jphd

Vraiment gracieux ce "newcomer" !

Il s'est vite adapté, quand même. Je le soupçonne d'avoir "avatarisé" son pseudo et d'être déja venu ici.

Bon, sérieusement Elias, si tu viens ici pour la première fois, il ne faut pas démarer comme ça sur les chapeaux de roues sinon tu vas pas tenir la distance et nous faire une apoplexie, là, en plein blog. Ca ferait désordre !

J'ai l'impression que tu m'aimes pas trop, c'est ton droit, mais sois prudent avec toi quand même!
Personnellement, je ne te veux pas de mal.
Souris un peu de temps en temps !
;-)

15. Le lundi 19 mai 2008 à 21:18, par Doctissimo

On pourrait croire que jphd donne à Elias des conseils d'aîné contre l'éjaculation précoce ! Sur ce point précis, reconnaissons-le, on peut difficilement le traiter de "provocateur", malgré une touche finale gauchement sentimentale.

P.S. Qui aime jphd ?

16. Le lundi 19 mai 2008 à 22:11, par Elias

@ Doctissimo
Sans doute même pas lui-même!

PS. C'est quoi, l'éjaculation précoce? Faut-il l'avoir? Le cas échéant, Jphd l'a-t-il? En est-il capable?

17. Le mardi 20 mai 2008 à 15:51, par M.V.

Une prière (du dimanche et des autres jours) à Michèle:
Il faut débarrasser ce blog de JPHD.
Il n'est pas bon de laisser circuler la perversité trop lontemps sans contrôle, cela n'apporte rien au débat, mais au contraire, le pourrit.

18. Le mardi 20 mai 2008 à 17:04, par Lucas Clermont

Je partage l'avis exactement contraire à propos de Jean-Philippe. C'est un troll de luxe précieux qui met à nu tous les travers de militants prétendument socialistes.

Grâce aux provocations d'un miltant efficace de l'UMP on aura vu ici des militants de gauche utiliser des insultes comme : "malade mental" ou bien qui relèvent du paradigme de l'hygiène. Plusieurs ont perdu leur sang-froid et mérité un point Godwin en évoquant le nazisme ou le pétainisme. Accessoirement sous ce billet qui traite de la mort deux interlocuteurs évoquent "l'éjaculation précoce". Et cetera.

Plus généralement il montre des militants socialistes sectaires, arrogants, sans nuances, incapables de se maîtriser ; des militants qui croient être crédibles en étant systématiquement en phase avec Michèle Delaunay comme s'il y avait une pensée unique au Parti socialiste ou bien comme si un blogueur pouvait réussir chaque fois son exercice quotidien. Ils oublient au passage que lorsqu'on a emporté deux bastions électoraux de droite, on a le cuir et l'ego tannés : il en faut plus pour être déstabilisé ! Mais qu'importe puisqu'il faut bien adorer ici et haïr là et que la pensée de supporteur d'équipe de foot est la règle.

Bref, à mon sens, le désordre qu'il crée est salutaire parce qu'il met à nu la bêtise, et partant l'inefficacité, à laquelle est enclin n'importe lequel de militants (de gauche ou de droite). Il me semble que mieux vaut que cela arrive maintenant, si loin des échéances électorales majeures.

19. Le mercredi 21 mai 2008 à 00:47, par NR

LC, si tacuisses! Défendre les insalubrités de jphd, faut le faire. Cet esprit tordu agace tout le monde à qui j'ai parlé, et appeler ces perversions de "désordre salutaire" révèle de ta part une drôle (j'ai failli écrire "troll") conception d'une discussion enrichissante. Faut-il d'ailleurs rappeler que jphd n'hésite même pas de procéder à des grossiers mensonges difficilement assimilables à une "désordre salutaire"? N'a-t-il pas écrit contre toute vérité historique que Hitler et son NSDAP avait des origines marxistes? Et insisté quand on lui a prouvé le contraire? "Désordre"? Non, ici règne un esprit pervers qui compte sur le manque de connaissances des lecteurs de ce blog, juste pour s'amuser... Qu'il choisit pour cela un emballage verbal "châtié" et qu'il se complait, pour perturber encore plus, des faux compliments (venant d'un type de la droite la plus réactionnaire) à l'égard de Michèle, le caractérise encore plus.

Donc, quitte à t'exposer au soupçon de faire cause commune avec lui, tu devrais choisir d'autres causes à défendre que jphd dont la présence surdimensionnée sur ce blog a repoussé plus d'un de nos fidèles lecteurs qui en ont eu marre de ce personnage et ont donc quitté le blog.

20. Le mercredi 21 mai 2008 à 11:07, par Lucas Clermont

NR

D'abord personne n'est obligé de lire ce qu'écrit Jean-Philippe, et encore moins de lui répondre. Ce n'est pas un esprit pervers, mais un ou plusieurs militants efficaces de l'UMP qui s'appuient sur les faiblesses de ce blogue. Ce qui de mon point de vue affaiblit considérablement ce blogue c'est l'apparent climat de dévotion à Michèle Delaunay, la vision simpliste et puérile que les bons sentiments sont à gauche et l'égoïsme est à droite, un fond de parano qui divise le monde en bons et méchants qui comploteraient, l'absence d'argumentation et les vérités assénées. Et les attaques personnelles.

Les arguments biaisés de Jean-Philippe sont intéressants parce qu'ils ont d'autant plus de force qu'ils correspondent à des a priori répandus : il offre donc une possibilité de faire de la pédagogie. Sa façon de débattre astucieuse soit en se dérobant soit en attaquant ad hominem est un excellent entrainement à ce qui se passe lors d'une discussion dans un groupe. Perdre son sang-froid, attaquer quelqu'un parce que justement on n'arrive pas à poser un problème disqualifie un orateur ; au contraire lorsqu'on garde son calme on acquiert un avantage qui masque bien des faiblesses de raisonnement.

Enfin il y a de toutes façons peu de personnes qui lisent les commentaires de Jean-Philippe, autre que quelques militants.

21. Le mercredi 21 mai 2008 à 11:58, par jphd

Le NSDAP à l'origine du nazisme, je ne crois pas avoir écrit cela, ou alors c'est une lecture trop rapide et biaisée (sic) qui a pu le faire croire.
Hegel, à l'origine du nazisme, ça oui, je crois bien l'avoir écrit. Je maintiens.

Je ne sais si certains commentateurs s'évaporent par mon fait mais ils est certain que d'autres reviennent avec de nouveau "pseudos" tout dépités de voir les impasses dans lesquelles ils se sont égarés. Cher NR...
LC, vous êtes dans une position délicate. Désolé, mais vous ne voyez dans mes interventions que calculs, mauvaise foi, astuces, distillations de lieux communs et voulez arguer de cela pour édifier une conduite salvatice chez vos militants. Vous vous trompez ou feignez de me voir ainsi.

22. Le mercredi 21 mai 2008 à 20:43, par jphd

A Lucas Clermont,

Je me répéte peut-être, mais je ne suis pas à l'UMP, et de plus, je ne crois pas que vous soyez un troll comme certains voudraient l'insinuer. Pour vous contrer, cette défense, là, vous le voyez bien est trop facile et jusqu'àvous lire, j'ignorais ce qu'était un point Godwin. Je crois que ceux qui parle ainsi de vous, en méritent un.
Même précieux, voire, rare, en suis-je vraiment un pour vous ?

23. Le mercredi 21 mai 2008 à 20:45, par jphd

1)
Sacré NR, quelle compassion, quelle délicatesse quand tu parles de "manque de connaissances des lecteurs de ce blog".

2)
Ben dis donc, tu nous en apprends des choses, doctissimo !
;-)

24. Le jeudi 22 mai 2008 à 21:44, par Kikitou

A lire :

www.lepost.fr/article/200...

mais aussi, au sujet de Rachida Dati :

www.lepost.fr/article/200...