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Quelques jours avant le précédent premier avril, nous avons constaté Gilles Savary et moi que nous étions également navrés par le peu d’enthousiame que suscite aujourd’hui ce jour facétieux. Aussôt nous avons médité quelques blagues à faire aux journaux. Nous étions en plein la période de grève de la fin du député Jean Lassale, avec en fond sonore un problème d’ours pyrénéen et un syndrome de menace grave sur le retour d’Alain Juppé. On connaît l’appétit jamais démenti, jamais pris en défaut de Gilles Savary. Notre blague favorite fut d’imaginer de convoquer Sud-Ouest pour un reportage « Gilles Savary entame une grève de la faim contre la réintroduction de l’ours québecois dans la vallée de la Garonne ». Reportage doublé d’une photo : Gilles affalé sur un sofa, la mine grave et défaite, moi lui posant une perfusion « Gilles Savary déjà très affaibli après sa quatrième heure de jeûne ».

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