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L’annonce de la mort à 94 ans de Charles Aznavour au matin même de la « journée internationale des personnes âgées » a une profonde signification; Lui-meme pourtant aurait sans doute préféré atteindre la centaine, voire, plus encore, mourir sur scène comme Molière.

Mais il mort en pleine gloire, en pleine possession de sa voix , de sa pensée , n’ayant renoncé ni à sa fidélité à ses origines et à ses débuts difficiles, ni à vouloir aider sans le montrer son public à surmonter les inconforts de l’âge. Il avouait sans y prêter d’importance ses implants capillaires ou ses prothèses auditives : les pertes d’autonomie réparables, compensables ou réversibles, nous ne devons les considérer comme des pertes, mais des problèmes surmontés.. I y a aidé ceux qui avaient à le fair grâce à son franc parler (et franc chanter..)

Mais c’est sa formidable énergie, sa volonté à demeurer le même, à monter sur les planches jusqu’au dernier jour, cette ardeurs qui au moment de sa mort, venait de le ramener d’un concert à Tokyo et la semaine suivante devait le conduire à Erevan avec le President Emmanuel Macron;

La longévité est toujours un combat : il s’est battu de ring en ring (de scènes en scènes), travaillant pour que sa voix ne s’altère pas, que son intérêt pour les autrs ne  s’altère pas en leur écrivant des chansons qu’il leur « offrait’.

Je voudrais que mes à titre posthume, les Américains l’accueillent dans ce groupe très prestigieux des « Eiders »; ceux qui réalisent leur vieillesse à égalité de leur vie.

 

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